Causes finalesCauses finales, 2
- architecteArchitecte
- ne dit pas créateur. (Kant)
etEt L’l'harmonie des phénomènes de la nature ne prouve rien de plus qu’un architecte. ceCe sont deux questions tout à fait différentes. onOn peut admettre Dieu,
- sans admettre la création ex nihilo. : Platon, aristoteAristote, les stoïciens. (p.page 446)
- stimulant nécessaire, incitation au progrès, etc. (p.page 453)
- nosNos jugements sur le Beau sont subjectifs. (Kant) (p.page 467)
- rienRien ne nous autorise à croire supposer qu’elle ait un fondemtfondement objectif
dans la réalité. (Kant) (p.page 470)
- L’industrie de l’homhomme est externe. ; l’industrie de la nature
est interne. (p.page 483)
- unUn être organisé possède en lui une vertu formatrice.
- différenceDifférence des œuvres de la nature &et des œuvres de l’art. (p.page 484)
- atteint de très petits buts. – organesOrganes des animaux. (p.page 521 &et sq.sq.sequiturqueet suivante)
- plus favorable au à la poésie que
l’ancien déisme. (p.page 544)
- (p.page 561)
- admettant les idées détruit toute sagesse
dans l’Être suprême. Tout était prévu &et combiné
d’avance dans sa pensée éternelle. Il n’a eu rien à faire qu’à copier
ce modèle éternel. (p.page 585)
- Dieu, avant de créer le monde, a créé l’idée du monde.
- différenceDifférence entre les vérités &et les essences. (p.page 588)
- Blainville. - : dent de tapiriumtapyrium giganteum, &et quand on a trouvé la tête entière
avec des dents
absolument les mêmes c’était celle d’un dinothérium. (p.page 615)
- Les parties des naĂŻades,
des hydres, pouvant se couper &et se reproduire, ne sont
pas réciproquement les unes aux
autres moyens &et buts -. (p.page 616)
- de Geoffroy StSaint-Hilaire. (p.page 625)
- L’âme n’est qu’un spectateur.
- (sauf les épicuriens) est dominédominée par le principe des Causescauses finales.
- —est dominée par les Causescauses physiques &et les Causescauses efficientes.
- mais il y faut de la force. (Leibnitz) (p.pages 651 &et sq.sq.sequiturqueet suivante &et p.page 652)
- prpourPour les Cartésienscartésiens, le mouvemtmouvement est qqquelque chose de substantiel, d’absolu, comme une entité.
- p.pourPour LeibnitzLeibniz, le mouvement n’est
qu’un phénomène.
- La seule chose réelle, substantielle, absolue c’est la Forceforce.
- Causes Causes différentescontraires produisant le même effet. passagePassage de Platon. (p.page 713)