BerkeleyBerkeley, par Penjon
- beautésBeautés du peuple
- Les paysans irlandais du Comtécomté de Kilkenny qui ont retenu le nom de Berkeley lui
attribuent les doctrines les plus opposées à celles qui l’ont rendu
célèbre. ilIl enseignait, disent-ils,
qu’il n’y a point d’âme &et que l’homme tout entier périt avec le corps. » (p.page 6)
- (p.page 49)
- c’estC'est dans l’esprit que nous trouvons le plus réel fondement des
choses. ilIl n’y a donc
« d’autre substance que
l’esprit ou ce qui perçoit. »
- Le scepticisme &et l’athéisme n’ont d’autre fondement que la doctrine de
la matière. » (p.page 62)
- Les mathématiciens se trompent quand ils considèrent les signes comme
des choses. (p.page 68)
- La substance n’existe que quand elle est
perçue - aucun corps n’existe au-delà du temps
où il est perçu. (p.page 77)
- niNi la chaleur ni le froid ne sont dans l’air ou dans l’eau. - LanotreNotre sensation seule fait la différence,
donc il n’y a ni étendue ni figure dans aucun objet, puisqu’un même
objet peut paraître
à un œil petit uni &etnon rond, &et à un autre gdgrand, raboteux &et angulaire. » (p.page 107)
- [*négation de la matière]
- unUn substratum ? - maisMais auquel de nos sens devons-nous cette connaissance ? (p.page 109)
- Sens du mot chose (p.page 123) = idées, sensations.
- nousNous ne pouvons apercevoir par les sens que les idées que nous
avons dans notre esprit
mais l’idée que j’ai dans l’esprit ne peut
être dans celui d’une autre. - doncDonc, deux
personnes ne peuvent pas voir la mĂŞme chose.
comparaisonComparaison du jet d’eau. (p.page 149) - différenceDifférence de MallebrancheMalebranche &et de Berkeley. (p.page 177)
- Berkeley croyait à l’existence des choses, parce que la Révélation
l’affirme. (p.page 178)
- L’idée de Causecause nous est fournie par la conscience de notre activité
personnelle, de notre volonté.
c’estC'est le seul exemple que nous connaissons par l’expérience d’une Causecause proprement dite.
- pesanteurPesanteur, force = qualités occultes, &et qui n’expliquent rien. (p.pages 194-195)
- dieuDieu est la véritable cause du mouvement., - c’est-à -dire de l’existence successive des choses dans le
temps
comme de l’existence simultanée dans l’étendue.
- règlementsRèglements des mœurs., lois somptuaires,
etc. (p.page 208)
- uneUne succession d’idées constitue le
temps. (p.page 237)
- difficultéDifficulté d’établir la réalité du monde
extérieur. : Descartes,
Malebranche, Locke, Leibnitz. (p.page 374)
- Si nous ne connaissons que des représentations de la matière, comment
saurons-nous
si la copie ressemble à l’original. ? (p.page 375)
- (p.page 383)
- pourPour Berkeley. (p.page 384)
- toutTout ce qui est physique n’est jamais qu’un enchaînemtenchaînement d’idées nécessité par les lois de la nature, &et non les choses elles-mêmes. Si nous voulons faire dériver le spirituel du matériel, du mouvement mécanique nous ne faisons encore dériver qu’une idée d’une autre, un fait psychique d’un autre fait, qui a le même caractère. (p.page 443)
 négationNégation de la matière