ManuelManuel, Renouvier, 2
- Balthazar Becker
- déduisit du système des causes occasionnelles (de &et de l’impossibilité de l’action de l’âme sur
le corps une négation des apparitions d’esprits. Balth.Balthazar Becker Le monde enchanté
1694.
- ses rapports avec Fénelon.p.page 237.
- tout s’abîme en luiDieu. pas de but à l’infini - Il n’y a en dieuDieu que dieuDieu.
- « il n’y a jamais qu’un moment qui nous sépare du néant. Maintenant nous en tenons
un, maintenant il périt, &et avec lui nous périssons tous, si, promptement &et sans
perdre de temps. nous n’en saisissons un semblable » Bossuet Sermons.
- (p.page 259)
- : comprendre l’ordre.p.page 261.
- - Dieu.rien ne peut le représenter, si on y pense il faut qu’il soit.p.page 268.
- nous n’avons pas d’idées par nous-mêmes il faut donc conclure que nous voyons toutes
choses en dieuDieu.
- - il n’y a que des apparences. mais Dieu ne peut nous tromper. - il y a deux révélations,
l’une naturelle
qui rend l’existence des corps probable, l’autre surnaturelle qui est la foi.p.page 271.
- « pensez-vous voir votre ami quand vous voyez un certain arrangement de matière qu’on
appelle visage ?
»(Conversat.Conversations chrétiennes, Malebr.Malebranche)p.page 275.même page, une belle prière buddhistebouddhiste.
- – « par le libertinage nous forçons Dieu à nous donner du plaisir, en vertu des lois
de l’union
de l’âme &et du corps »
- - Les bêtes n’ont pas d’âme, parce que n’ayant pas d’âmepéché, elles ne peuvent souffrir.
(rech.rechercheRecherche de la vérité)
- il existe des êtres simples, &et primitifs, des monades, des points métaphysiques qui
ont
qqquelque chose de vital(!)&et une sorte de perception. enfin si l’on veut, des atomes, non de
matière
mais de substance. ces monades sont des forces primitives
- le mal.Vouloir comprendre comment le finil’infini qui est tout bien ne fait pas le fini semblable à lui
c’est vouloir comprendre comment il n’existe
pas seul.
la question du mal insoluble prquoipourquoi ne pas contempler avec soumission le fini dans
l’infini, le libre dans le nécessaire, la
multiplicité dans l’unité, dans la monade.(p.page 288.
- Cousin. ph.philosophie du 18e siècleHistoire de la philosophie du XVIIIe siècle t.tome I,p.page 9.- contre la réflexion
avant Hobbes, Occam&etDuns Scott avaient demandé si la matière ne peut pas
penser.
- Dieu a donné aux astres la faculté de pensers’attirer. il peut bien avoir donné aux hommes qui
sont constitués comme les astres par certains amas de matière, la
faculté de penser.
- les qualités sensibles varient avec les sujets qui les perçoivent. - le temps ne peut être connu que par la succession des idées dans l’âme de l’observateur. Comment donc ces qualités pourraient-elles exister dans le corps &et comme l’étendue que p ne peut être rendue sensible que par une qualité seconde, chaleur, couleur etc., il s’ensuit qu’on ne peut recevoir comprendre aucune sensation hors de l’esprit, dans laquelle lequel elle est, ou qui la perçoit immédiatement. le substratum de la qualité sensible la matière ? - mais ce mot substratum, ou suppose l’étendue dont l’existence objective est déjà réfutée, ou bien