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Cote : g226_6_f_033__r____ | ID_folio : 1015 | ID_Transcription : 886 | ID_Image : 3044

ManuelManuel, Renouvier, 2

Balthazar Becker
déduisit du système des causes occasionnelles (de &et de l’impossibilité de l’action de l’âme sur le corps une négation des apparitions d’esprits. Balth.Balthazar Becker Le monde enchanté 1694.
SpinosaSpinoza.
ses rapports avec Fénelon.p.page 237.
tout s’abîme en luiDieu. pas de but à l’infini - Il n’y a en dieuDieu que dieuDieu.
néant.
« il n’y a jamais qu’un moment qui nous sépare du néant. Maintenant nous en tenons un, maintenant il périt, &et avec lui nous périssons tous, si, promptement &et sans perdre de temps. nous n’en saisissons un semblable » Bossuet Sermons.
trinité de SpinosaSpinoza.
(p.page 259)
sa morale
: comprendre l’ordre.p.page 261.
Malebranche.
- Dieu.rien ne peut le représenter, si on y pense il faut qu’il soit.p.page 268.
nous n’avons pas d’idées par nous-mêmes il faut donc conclure que nous voyons toutes choses en dieuDieu.
- il n’y a que des apparences. mais Dieu ne peut nous tromper. - il y a deux révélations, l’une naturelle qui rend l’existence des corps probable, l’autre surnaturelle qui est la foi.p.page 271.
« pensez-vous voir votre ami quand vous voyez un certain arrangement de matière qu’on appelle visage ? »(Conversat.Conversations chrétiennes, Malebr.Malebranche)p.page 275.même page, une belle prière buddhistebouddhiste.
– « par le libertinage nous forçons Dieu à nous donner du plaisir, en vertu des lois de l’union de l’âme &et du corps »
- Les bêtes n’ont pas d’âme, parce que n’ayant pas d’âmepéché, elles ne peuvent souffrir. (rech.rechercheRecherche de la vérité)
LeibnitzLeibniz.
il existe des êtres simples, &et primitifs, des monades, des points métaphysiques qui ont qqquelque chose de vital(!)&et une sorte de perception. enfin si l’on veut, des atomes, non de matière mais de substance. ces monades sont des forces primitives
le mal.Vouloir comprendre comment le finil’infini qui est tout bien ne fait pas le fini semblable à lui c’est vouloir comprendre comment il n’existe pas seul. la question du mal insoluble prquoipourquoi ne pas contempler avec soumission le fini dans l’infini, le libre dans le nécessaire, la multiplicité dans l’unité, dans la monade.(p.page 288.
contre les Sensualistes.
Cousin. ph.philosophie du 18e siècleHistoire de la philosophie du XVIIIe siècle t.tome I,p.page 9.- contre la réflexion avant Hobbes, Occam&etDuns Scott avaient demandé si la matière ne peut pas penser.
Locke
Dieu a donné aux astres la faculté de pensers’attirer. il peut bien avoir donné aux hommes qui sont constitués comme les astres par certains amas de matière, la faculté de penser.
Berkeley.
les qualités sensibles varient avec les sujets qui les perçoivent. - le temps ne peut être connu que par la succession des idées dans l’âme de l’observateur. Comment donc ces qualités pourraient-elles exister dans le corps &et comme l’étendue que p ne peut être rendue sensible que par une qualité seconde, chaleur, couleur etc., il s’ensuit qu’on ne peut recevoir comprendre aucune sensation hors de l’esprit, dans laquelle lequel elle est, ou qui la perçoit immédiatement. le substratum de la qualité sensible la matière ? - mais ce mot substratum, ou suppose l’étendue dont l’existence objective est déjà réfutée, ou bien

Transcription : Atsushi Yamazaki

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Titre de la page : ManuelManuel, Renouvier, 2

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