L’Hégélianisme et la Philosophie Vera.
- L’animalité au-dessus de la
matière planétaire.
- « ma pensée est qu’il y a plus de réalité dans l’être concret que dans l’être abstrait
et qu’une simple substance gélatineuse d’où se dégage l’animalité vaut mieux
qu’un amas
d’étoiles »p. 6
- n’est pas la mesure de la perfection. un diamant vaut mieux qu’un quartier de roche, un général
qu’une
armée
- Ă la mĂ©canique (de Descartes) - mais la vraie mĂ©thode ne consiste pas Ă
remplacer
un principe par un autre. Car vous supprimez l’un des deux. démontrez
plutôt la coexistence des deux principes en les déduisant et en assignant à chacun sa valeur.
- Leibniz remplit l’hiatus entre le corps et l’âme par l’harmonie préétablie. mais il ne dit pas ce qu’elle
est. il ne
suppose même cette unité substantielle à laquelle il prétend échapper - mais le
mot est harmonieux et séduit l’oreille.(p. 73)
- si Dieu est la monade des monades, unité primitive des monades, l’âme
et le corps participeront
à la même substance et nous retombons dans l’unité
substantielle de Spinoza - et le dernier rapport de l’âme et du corps ne réside
pas dans l’harmonie préétablie, mais dans la nature divine elle-même
- et c’est
dans la connaissance de cette nature qu’il faut en chercher
l’explication.(p. 75)
- … Les monades représentent virtuellement
l’univers, dit Leibniz mais
comment la monade organique peut-elle représenter la monade inorganique
ou
planétaire si elle n’est liée avec ces monades par aucun rapport substantiel ?
- L’harmonie préétablie est un Deus ex machina.(p. 81)
- si les monades sont des forces, elles ne sont que des parties d’une seule et même
force, comme les diverses substances, en tant que substances ne sont que des
parties
d’une seule et même substance.(p. 84)
- comme on l’entend ordinairement.(p. 156)
- qui accompagnent la vie et la destinée humaine » Cousin.
- , c’est ne rien dire.(p. 181.)
- Les PP. de l’église ont tâché d’expliquer rationnellement la trinité.(p. 185)
- Socrate Jésus, Galilée ne l’avaient pas pour eux.
- mot si élastique que les doctrines les plus opposées peuvent y trouver leur
point
d’appui.(p. 191)
- – Autant qu’il y a de peuples, autant de conceptions différentes de la divinité