- Création
absurde.
- - dire que la substance du monde est engendrée, absurdité. Car elle a toujours existé de toute
éternité dans la pensée et dans la substance divine. - autrement l’essence du monde
serait un élément, un être
nouveau qui s’ajouterait à un certain moment à la vie
divine.(p. 88)
- ne doit pas être populaire - vulgarisée, sous peine d’être fausse et rétrograde -p. 101.
- (p. 126 et suivante
- a pour limites les lois de sa nature
- la dernière raison d’une chose est cette nécessité intérieure qui fait qu’une chose est ce qu’elle
est et qu’elle ne saurait être autrement qu’elle n’est. et cette nécessité est l’essence Dieu est l’essence et la nécessité absolue - et tout ce qu’on peut dire de lui c’est qu’il est
parce qu’il est.(p. 129)
- n’est qu’une pure abstraction. Le devenir seul est la Vérité. L’apparence est tout ce qu’il y a de
plus vrai.p. 138.
- , contradiction, produisant le scepticisme.(p. 151)
- p. 153.
- — exagère la puissance de l’Art, de la pensée et de la liberté. - admettant que la puissance de l’art n’a
pas de bornes et peut changer les formes et les lois constitutives des ĂŞtres(p. 165)
- a les mêmes défauts, quand elle croit à l’égalité absolue, à l’anéantissemt du mal et de la douleur
au bonheur parfait.(p. 166)
- - frappée d’anathème et on admire son harmonie(p. 203)!
- L’ombre prépare et rend possibles la couleur et l’acte de la vision, et ce n’est que le froid mêlé
à la chaleur qui produit la température et qui peut être l’objet de la sensation. Le mouvement
circulaire est l’unité de deux forces opposées, et la mort et la destruction sont la condition
de la perpétuité de la vie.(p. 241-242)
- – anthropomorphisme. « La liberté qui est finie dans l’homme est infinie dans Dieu - mais
qu’est-ce qu’une liberté infinie. - que peut-elle être »p. 259.!
- Mais la perfection de l’être infini n’est pas une imitation ou une représentation
des
personnes finies.
- la liberté de Dieu est réglée par les lois de sa raison et de sa sagesse. Mais une liberté
réglée est par cela même une liberté limitée.(p. 261)
- (p. 277.) on a peine à concilier la mort avec la notion de Dieu parce qu’on croit que la vie est
une perfection et la mort une imperfection. - Mais la mort est comme la justice, une
détermination de
Dieu.(p. 278 et suivante)
- L’organisme ne se maintient que par la destruction de l’organisme.(p. 281)
- , correspond un point de vue distinct.