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Cote : g226_6_f_037__r____ | ID_folio : 2690 | ID_Transcription : 892 | ID_Image : 8069

Spinoza Saisset. introduction.

Haine de Spinozapourl’expérience
Elle donne des images confuses, elle n’atteint que les accidents des choses - et la science néglige l’accident pour s’attacher à l’essence(p. 21)
pas d’autre procédé que l’intuition immédiate.
- Le premier objet de l’intuition immédiate, c’est l’Être parfait
La Pensée et l’Étendue
sont des essences particulières et déterminées, et non des universaux(p. 25
Haine des sceptiques
(p. 27)
La Pensée et l’Étendue
, attributs de la Substance. et les attributs ont des modes(p. 32)
Dieu
se développe en une infinité d’attributs qui expriment chacun à sa manière l’absolue infinité de son être - et cependant nous n’en connaissons que deux : l’étendue et la Pensée - Nous n’en savons pas plus.
L’Éternité de la Substance
, c’est son existence elle-même, en tant qu’elle résulte de son essence
Pas de limite Ă  Dieu
, ni corporelle, ni intellectuelle. Lui supposer un entendementet une volonté même infinis aussi absurde que de lui supposer du mouvement
L’étendue est infinie
car avec quoi limiter l’étendue - Mais l’étendue, quoiqu'infinie n’est pas l’infini, l’infini Absolu. Car elle ne contient qu’un genre précis de perfection, et l’infini absolu les contient tous.
Dieu
n’est pas telle ou telle étendue divisible et mobile, mais l’étendue en soi, l’immobile et indivisible immensité.
Les corps
sont des modes de l’étendue infinie
L’espace est infini réel.
il est la substance des corps. Il est Dieu lui-même en tant qu’étendue. Le temps et la durée au contraire, simples conceptions ne sont point infinis, mais indéfinis.
Les corps
sont des phénomènes des déterminations de l’espace, des manifestations fugitives d’un fond réel qu’est l’Étendue. L’étendue est donc réelle comme les corps etinfiniment plus réelle encore. -(p. 59)
La Pensée divine
n’a rien de commun avec la pensée humaine.
Dieu est l’Être même.
il crée sans cesse puisqu’il se développe sans cesse, et que du sein de son éternité immuable il remplit la durée infinie de l’inépuisable variété de ses effets.
Le problème consiste pour l’esprit humain
à comprendre la coexistence de l’infini et du fini L’Éléatisme nie le fini, le matérialisme l’infini.
la doctrine des Causes finales
renverse l’ordre de perfection des choses elle détruit la perfection divine.p. 83. etp. 84.
La volonté ne peut appartenir à Dieu.
car elle suppose l’entendement ; l’entendement se rapporte à la pensée et la pensée est postérieure à l’être.(p. 85)
petitesse de notre univers.
p. 91.

Transcription : Atsushi Yamazaki

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