- Dogmatisme.
-
trois intérêts. – pratique. - spéculatif - de popularité.
p.quoi les foules se rangeront toujours du côté du dogmatisme ( 81) Je ne peux pas dire que le monde
soit infini dans le temps
&
dans l’espace
-
puisque cela supposerait une connaissance exacte de
sa gdeur absolue - je ne peux pas dire non plus qu’il soit fini, puisqu’une limite
absolue ne saurait être davantage l’objet d’aucune expérience possible –
liberté
-
s’il y a qque part une cause libre, l’enchaînement des causes
&
des effets est rompu
&
dès lors que devient l’ordre naturel.
Mais distinguons l’ordre sensible de l’ordre intelligible - voy. p. 89 - peu clai
ĂŞtre SuprĂŞme
. Dieu
-
nous ne pouvons songer à la possibilité
d’une chose sans nous élever à l’idée de
l’être des êtres. cela ne veut pas dire que nous devons admettre son existence.
c’est un idéal que nous trace la raison pure & elle fait la règle de notre jugemt
existence de Dieu
-
trois preuves.
1°- observation du monde - = une cause suprême.
2° preuve cosmologique
3°- preuve ontologique.
preuve ontologique. - Leibnitz. existence d’un être parfait déduite de la conception
que nous en avons. - Mais cet être existe-il ? s’il s’agissait d’un objet d’expérience
on ne manquerait pas de distinguer sa réalité de sa possibilité - mais ici le critérium
de l’existence nous manquant, nous sommes naturellement portés à confondre la
possibilité avec la réalité.
preuve cosmologique. Vous concluez du contingent dans le monde Ă une Cause
suprême hors du monde. Le concept de Causalité n’a de valeur & d’usage que
dans le monde sensible. - vous rompez la chaîne des êtres sensibles p. la rattacher
à un être supra-sensible. v p. 98
nous attribuons à cette idée : Dieu une réalité objective.
Dieu vertige abîme encore plus gd que l’éternité. l’éternité ne fait que mesurer
la durée des choses. elle ne les soutient pas.
preuve physico-théologique l’architecte.
nous ne pouvons connaître le monde dans son étendue, donc nous ne
pouvons par ce moyen nous faire un concept déterminé de la puissance de la Cause suprême
du monde. - nous pouvons bien attribuer à cette Cause une très gde puissance
Mais pas une puissance infinie. car du relatif on ne saurait tirer
l’absolu. la preuve ne pourrait démontrer qu’un Architecte, mais non
un créateur. ( 100-101)
Il reste donc un idéal de la raison pure, d’où va dériver la morale