Traité de l’Esprit, Helvétius, 2 vol.éd. de 1827.
- De l’ignorance -
- « Chacun voit bien ce qu’il voit - mais personne ne se défiant assez de son
ignorance, on croit trop facilement que
ce que l’on voit dans un objet est
tout ce que l’on peut y voir. »p. 129.
- suit la liste des calamités du paysan au 18e siècle.(p. 136
- signifie la collection des propriétés communes à tous les corps.
- est une justice que la faible humanité est en droit d’exiger de la sagesse. » -(p. 154)
- ont toujours mis l’intérêt particulier en opposition avec l’intérêt général - » -p. 204.
- est soumise au principe de l’utilité publique... elle ne doit jamais révéler les défauts
qui ne nuisent qu’à l’homme même. c’est l’affliger sans utilité -
sous
prétexte d’être vrai c’est être méchant et brutal. c’est moins aimer la vérité
que se glorifier dans l’humiliation d’autrui »(p. 211)
- À copier p. 232. t.1er comme vanité d’auteur
- l’auteur dont Helvétius ne dit pas le nom croit avoir rendu service au genre
humain.RĂ©f. bibl.
- est dans chaque siècle, toujours proportionnée à l’intérêt
qu’on a de les estimer.(p. 358)
- dépend - 1° de l’usage journalier qu’on en fait. 2° de l’attention 3° de l’ordre dans lequel
on range ses
idées.
- la sagacité, c’est-à -dire la promptitude avec laquelle un homme est frappé d’une vérité
dépend souvent de
l’analogie de cette vérité avec les objets qu’il a habituellement présents
Ă la
mémoire.(p. 14) t. 2.).
- dépend donc en partie du choix des objets qu’on place dans la mémoire. »
Mais qui fait faire le choix ?
« on
est rarement grand homme, si l’on n’a le courage d’ignorer une infinité
de choses inutiles »(p. 24)
- fit recueillir les ouvrages d’Homère et élever au milieu de Sparte la statue du Ris.
- « C'est moins à la force particulière de leur langue qu’à la
forme de leur gouvernement qu’ils doivent cet
avantage. » ! (p. 331)
on est toujours fort dans un état libre où l’homme conçoit
les
plus hautes pensées et peut les exprimer aussi vivement qu’il les conçoit.
- « l’excessive grandeur d’une image la rend quelquefois ridicule Quand le psalmiste dit que les montagnes sautent comme des béliers, cette grande image ne fait sur nous que peu d’effet, parce qu’il est peu d’hommes dont l’imagination soit assez forte, pour se faire un tableau net et vif des montagnes sautant comme des cabris »(p. 330)
Traité du Rossignol
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Esthétique
Faiblesse de l’imagination au 18e siècle