- leLe goût
- est plus la connaissance particulière de ce qui plaît au public d’une
certaine nation.
goûtGoût d’habitude
goûtGoût raisonné
siSi les hommes supérieurs ne sont pas toujours bons juges en fait de goût « c’est que chacun de ces hommes illustres nécessité par son goût à regarder sa manière comme la meilleure doit en conséquence faire souvent plus de cas de l’homme médiocre qui la saisit que de l’homme de génie qui s’en fait une. »(p.page 3485) H.Helvétius nie l’amour paternel.
-
« c’estC'est le sentiment de la postéromanie, ou de l’orgueil de commander,
ou d’une
crainte de l’ennui &et du désœuvrement. » (p.page 383)
- unUn vieillard ne comprendra jamais que la jouissance d’une femme soit nécessaire
au bonheur
d’un homme. » (p.page 397)
- oĂąOĂą le bon sens finit, l’esprit commence.Â
- « Le respect qu’on a prpour l’esprit est toujours proportionné à l’esprit qu’on a. L’on
ne célèbre les gdsgrands hommes que lorsqu’on est soi-même fait prpour l’être. Pourquoi
César pleurait-il en ple s’arrêtant devant le buste
d’Alexandre ? c’est qu’il
était César ! Pourquoi ne
pleure-t-on plus à l’aspect de ce même buste ? c’est
qu’il n’est plus de
César ! » (p.page 465)
- n’est autre chose que la connaissance des moyens propres à former des corps plus robustes
&et plus forts, des esprits plus éclairés &et des âmes plus vertueuses. » (p.page 413)
- H.Helvétius tonne contre l’enseignement du latin. onOn y perd 8 années ! (p.page 415)
- l’instructionL'instruction doit être en vue « du parti qu’il doit embrasser &et du il est
absurde que de qu’on donne la même éducation à celui qui
sera financier -
qu’à cet autre qui sera militaire. (p.page 447)
- lesLes gdsgrands hommes peuvent devenir l’ouvrage du législateur. (p.page 488)