| Fragments et références bibliographiques exactes |
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Le gouvernement civil // Locke.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749.
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[n°1]
Le gouvernement d’un seul - qui est juge dans sa propre cause, ressemble à l’état de nature
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 17.
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[n°2]
la propriété a pr base le travail. tout ce qu’un homme a tiré de l’état de nature par son travail appartient à lui seul. – Il y a ajouté q chose de plus que la nature
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749.
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[n°3]
La monarchie, si elle descend du Père, - devrait descendre du père & de la mère
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 82.
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[n°4]
où il n’y a point de lois, il n’y a point de liberté.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 77.
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[n°5]
Le pouvoir paternel n’a de raison que pr défendre le mineur. - devenus majeurs les enfans ne relèvent plus du père, qui n’a aucun droit sur les biens qu’ils se sont acquis.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 94-95.
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[n°6]
Les deux pouvoirs paternels & monarchiques sont complètement distincts. chaque sujet qui est père a autant de pouvoir Prince sur ses enfants que le Prince sur les siens. Un père qui a un père & une mère leur doit autant que de respect que le moindre de ses sujets en doit aux siens.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 96-97.
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[n°7]
si les Princes veulent fonder leur autorité sur le droit des pères, parce que ce sont les pères que nous trouvons à l’origine des gouvernements, il s’ensuivrait p. la même raison, que les Princes doivent être Prêtres & sacrificateurs.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 103-104.
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[n°8]
« La société conjugale a été formée par un accord volontaire entre l’homme & la femme » – non par l’esclavage.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 106.
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[n°9]
chez les Herbivores, la Société conjugale se borne à l’accouplement, parce que les petits se nourrissent d..... de lait jusqu’à ce qu’ils soient capables de paître. mais chez les Carnassiers, la société dure plus longtemps, parce que l’assistance du mâle est utile pr nourrir les petits - & la mère - de même p. les oiseaux, le mâle & la femelle apportent de la nourriture aux petits dans le nid
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 107-108.
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[n°10]
Le mâle & la femelle, chez l’homme sont astreints à une société plus longue car la femelle devient grosse avant que les petits soient élevés.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 108.
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[n°11]
Presque toutes les Monarchies à l’origine ont été électives.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 145.
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[n°12]
Comment les monarchies sont-elles devenues légitimes ? par le choix du peuple mais le peuple peut faire un autre choix ?
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 157.
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[n°13]
Le consentement tacite à la soumission des lois résulte de l’acquisition de la Propriété, - de la résidence, du passage sur les terres.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 166-167.
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[n°14]
L’autorité législative ne peut remettre à un autre le droit pouvoir de faire les lois. - Car, cette autorité a été remise par le peuple.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 179.
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[n°15]
Le peuple seul peut établir la Forme de l’État, c’est-à -dire faire résider le pouvoir législatif dans les personnes qu’il lui plaît & de la manière qu’il lui plaît.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 177.
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[n°16]
L’autorité législative a le droit de reprendre le pouvoir, exécutif & de punir celui qui l’a mal administré
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749.
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[n°17]
Le pouvoir de convoquer l’assemblée législative, ne donne pas la supériorité au pouvoir exécutif sur le Législatif. - il n’est fondé que sur la confiance qu’on a mise en lui, au regard du salut & de l’avantage du peuple
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 208.
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[n°18]
Salus Populi, suprema Lex - « c’est une manière si juste & si fondamentale que quiconque la suit ne peut être jamais en danger de s’égarer » -
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 213.
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[n°19]
Droit de grâce les coupables doivent être épargnés, lorsqu’on voit qu’en leur faisant grâce, on ne cause aucun préjudice aux innocents.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 217-218.
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[n°20]
Les règnes des bons Princes ont été nuisibles aux libertés de leurs peuples – à cause de leurs successeurs, qui ont voulu se servir de la prérogative de ces bons princes, pr autoriser tout ce qu’il leur plaisait de faire.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 224-225.
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[n°21]
la Prérogative est le pouvoir de procurer le bien public sans règlemens & sans lois.
Référence exacte :
Locke, J. - Du Gouvernement civil. - 1749. - p. 219-220.
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Cote g226 - vol. 6 - f°131 - Recto - 
f°131 - Verso | f°132 - Recto