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Cote : g226_6_f_133__v____ | ID_folio : 3105 | ID_Transcription : 2884 | ID_Image : 9314
Buchanan- de jure regni apud Scotos 1580 « il y a contrat entre le roiet le peuple le roi qui fait le contraire de ce qu’il doit faire en vertu du contrat est un tyran. le tyran est un ennemi, aux ennemis la guerre, aux tyrans la mort.Réf. bibl.
Guillaume III et Fénelon sont les représentants naturels d’une époque aussi lasse du despotisme que de la révolte ennemie de la violence et dégoûtée de tous les genres de fanatisme, de celui des Ligueurs comme de celui des têtes-rondes(p. 151.
Cromwell etLouisxiv ne représentent dans le siècle que des doctrines condamnées, l’un la vieille révolte, l’autre la vieille répression.Réf. bibl.
À la mort de Cromwell, toutes les maisons souveraines prirent le deuil Elles avaient raison. Cromwell avait défendu l’ordre ! Il n’avait pas tenu à lui que la première république, la Hollande ne fût rayée de la liste des états(p. 320)
L'instruction pour le Dauphin de Louisxiv ressemble à l’instruction de Charles Quint pour Philippe II et celle de Philippe II à Philippe III.Réf. bibl.
« Il n’y a qu’une seule loi, c’est la volonté du monarque. le monarque est le lieutenant de DieuRéf. bibl.
Le roi-comédien
... Les princes dans tous les conseils doivent avoir pour première vue d’examiner ce qui peut leur donner ou leur ôter l’applaudissement public »(p. 333
Il n’a pas pris pour ministres des gens de distinction : « il fallait avant toute chose établir ma propre réputation » etc. Il doutait donc de son droit divin – avait besoin de considération personnelle –Réf. bibl.
Son frère lui avait demandé pour sa femme une chaise à dos. Il aurait dû ne lui rien refuser, « mais voyant de quelle conséquence était celle-ci » il ne put lui donner satisfaction. Il ne croyait pas devoir promettre « ce qui semblerait l’approcher de moi ».(p. 339
Sa volonté (de Dieu) est que « quiconque est né Sujet1 obéisse sans discernement le christianisme a établi cette maxime de l’humble soumission des sujets – et c’est grâce à cela, qu’on ne voit pas « ces funestes révolutions d’états qui arrivaient si souvent dans le paganisme »(p. 340
– « Il me semble qu’on m’ôte de ma gloire, quand sans moi on en peut avoir. – »(p. 344).
Doctrines du Régicideet de la déposition des Rois, professées partout. v. la liste des ouvrages p. 416.
Au XVe siècle Jean Petit, apologie de l’assassin du duc d’Orléans.Réf. bibl.
Posées d’abord en France et en Espagne au nom de la religion, elles furent bientôt posées en Angleterre au nom de la politique et de la religionRéf. bibl.
Ludlow, pour voter la mort de Charles Ier s’autorisait d’un passage du 1er livre de Samuel.Réf. bibl.
Hutchinson, trois fois fit officiellement l’apologie de ce meurtre. et réfuta dans son Iconoclaste, l’Eikon Basilice de Saumaise, pour Charles Ier.Réf. bibl.
Milton demanda la liberté de la Presse2 avec l’affranchissement des Grecs et le tyrannicide fut prêché contre Cromwell.Réf. bibl.

Transcription : Biagio Magaudda

Page de notes de lecture


Notes

1On trouve "SUJET" dans l'ouvrage de Matter (t. II, p. 340).

2"presse" dans l'ouvrage de Matter (t. II, p. 419).

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