| Fragments et références bibliographiques exactes |
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Souvenirs de la Tribune des journalistes // Audebrand. 1867.
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867.
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[n°1]
Mgneur Donnet. plaçait Méry parmi les P. de l’église dans un mandement qui a paru dans la gironde il y a dix ans = 1857.
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 11.
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[n°2]
on était indigné contre le Luxe de Marrast.
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 51.
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[n°3]
Genoude. auteur du Suffrage universel - pas Ă©lu.
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 65.
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[n°4]
La Justice, journal, fondé p. défendre le Cte // Sosth // de Richemond - le duc de la Rochefoucauld en était.
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 75.
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[n°5]
haines politiques. après la mort du duc d’Orléans « un ancien rédacteur de la France & de la Mode F. M. envoyait au roi, ces mots cachetés « Philippe, le sang versé par Louvel est vengé. Voilà le doigt de la colère divine». (p. 83)
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 81.
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[n°6]
Riego. la cour ordonne que son corps soit coupé en quatre morceaux p- être exposés à Séville, à l’île Léon, à Malaga & à Madrid.
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 142.
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[n°7]
Foulard de Rouen, représentant le nègre Bissette, marqué de la marque des t. forcés p. une brochure.
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 144-147.
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[n°8]
enterrement de Proudhon. Massol revêt son étole de Franc-maçon & prononce un discours.
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Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 171-172.
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[n°9]
4. mai 1848. Les représentants ont leur Ière séance, au palais Bourbon.
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 204.
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[n°10]
mot des royalistes. « Laissons la République cuire dans son jus » c’est le mot de Bismark
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 205.
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[n°11]
« - cet excédant remue-ménage va cesser»
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 206.
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[n°12]
Le bonnet phrygien des gardes de Caussidière faisait peur. Quand il leur donna des casquettes, les Pairs l’accusèrent d’être réactionnaires. « la réaction relève la tête »
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 210.
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[n°13]
Il s’agissait « de refondre la société française & de couleur l’Europe dans un moule nouveau. - »
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 212.
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[n°14]
vers royalistes de Mr de Liadières ?
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 213.
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[n°15]
le P. Lacordaire & Caussidière arrivent à la chambre, bras dessus bras dessous. (215)
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 215.
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[n°16]
les Modérés regardaient Lamartine comme leur sauveur – & l’auraient fait dictateur. quand il n’abandonna pas Ledru-Rollin - « ce n’est plus notre homme ! »
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 232-233.
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[n°17]
Le livre des girondins avait blessé les conservateurs
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 233.
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[n°18]
Son opinion de la Constitution. « prenez Béranger & Lamennais dans quze jours la Constitution sera faite »
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 234.
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[n°19]
les Pentarques étaient déchirés par les Rouges & les Blancs
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 235.
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[n°20]
Le Luxembourg, lieu de débauche !
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 235.
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[n°21]
un des fonctionnaires avait pris pr sa femme « le lit d’or à pied de lion sculpté de Catherine de Médicis » lit fabuleux !
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 235.
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[n°22]
ils avaient « des allures de Prince ! »
Référence exacte :
Audebrand, P. - Souvenirs de la tribune des journalistes (1848-1852). - 1867. - p. 235-236.
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Cote g226 - vol. 6 - f°150 - Recto - 
f°150 - Verso | f°151 - Recto