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Cote : g226_6_f_160__r____ | ID_folio : 1103 | ID_Transcription : 2920 | ID_Image : 3308

Le droit des gens. Vattel précédé d’un discours de Mackintosh. tradtraduit par P.PaulRoy. CollardRoyer-Collard Paris 1830.

esthétiqueL Idéal des genres, en littérature
Montesquieu a choisi dans l’eEsprit des lois « un style peu conforme à la gravité du sujet »disc.discDiscours sur l’Éétude du droit de la Nature &et des gens Mackintosh.p.page xxj.
L’origine des gouvernements. - question oiseuse, laissée par les Anciens. voy.voyezintrodintroduction au 1er livre de la Politique d’Aristote, et le VIelivlivreliv. de Polybe.Réf. bibl.
définition de la Liberté = la garantie contre l’injure. La liberté est donc l’objet de tout gouvernement. donc les hommes sont plus libres sous n’importe quel gouvernement, même le plus mauvais, qu’ils ne le seraient sans aucun gouvernement.Réf. bibl.
excès de simplicité dans les lois peut être arriver à être un déni de justice.Réf. bibl.
Le travail successif de la législation a été de resserrer, de plus en plus, la force brutale &et la volonté capricieuse.(p.page xliv)
Armes empoisonnées sont permises par Wolf. (J. Gentium§paragraphe 878.).Réf. bibl.
Les États souverains doivent être considérés comme autant de personnes libres, qui vivent entr’elles dans l’état de nature.Réf. bibl.
Les citoyens ont remis en partie au souverain leur liberté &et leur indépendance, mais le corps de la nation, l’État demeure libre à l’égard de tous les autres hommes, des nations étrangères, tant qu’il ne se soumet pas volontairement à elles. »préliminaires. ppagep. 38. §paragraphe 4.
chaque Nation doit être laissée dans la paisible jouissance de cette liberté qu’elle tient de la Nature2 -§paragraphe 15.
si la coutume renferme qqquelque chose d’illicite, chaque Nation est obligée de l’abandonner, rien ne pouvant l’obliger ni lui permettre de violer la loi naturelleRéf. bibl.
Le gouvernement étant établi prpour la Nation, la Nation a le droit de former et de réformer sa constitution comme bon lui semble.(livlivreliv.31. chchapitrech. 3.)
contraire au Droit divinLe Prince3 tient son autorité de la Nation. Il en a précisément autant qu’elle a voulu lui en confier. - Ainsi le peuple a le droit d’ôter au Prince4 le pouvoir dont il abuse. – qu’il soit absolu ou non, « parce que ce droit vient de la fin de toute société politique, du salut de la Nation qui est la loi suprême.livlivreliv. 1erch.chapitre IV. §paragraphe 51. p.page 88.
Le roi électif est souverain comme l’héréditaire, car : la Succession5 est établie par la volonté expresse, ou par le consentement tacite de la Nation, prpour le bien &et le salut de l’Étatllivreliv. 1erchchapitrech. V.
le peuple ne s’est lié que p.pour qu’en vue de son salut &et de son plus gdgrand avantage. salus populi suprema lex.Réf. bibl.
le Prince6 n’est pas le propriétaire de son empire. « c’est une maxime injurieuse à l’humanité.Réf. bibl.
la patrie a le droit de retenir le citoyen utile qui veut porter son industrie chez l’étranger ! VatelVattel ajoute qu’elle doit user de ce droit sobrement « &et seulement dans les cas importants ou de nécessité »liv.livre I, ch.chapitre 6. §paragraphe 74. -
Contre le communisme.
les terres Ccommunes doivent être supprimées, - dans le but d’améliorer la culture. la Nation est en droit de prendre des mesures efficaces prpour faire en sorte que la totalité de son terrain produise le plus gdgrand revenu possible.chchapitrech. VII. §paragraphe 78.
négation de la Propriété.
- Les hommes étant obligés de s’assister, c’est un devoir de vendre les choses dont on n’a pas besoinRéf. bibl.

Transcription : Biagio Magaudda

Page de notes de lecture

Titre de la page : Le droit des gens. Vattel précédé d’un discours de Mackintosh. tradtraduit par P.PaulRoy. CollardRoyer-Collard Paris 1830.


Notes

1F° 160/160v/161/161v/162/162v (Droit des gens de Vattel). Flaubert a lu l’ouvrage de Vattel Le Droit des gens en avril 1873 (Carnet 15, f° 66). La Correspondance confirme cette datation : « Gustave Flaubert présente ses respects à M. Klein, et enverra chercher mercredi prochain quelques-uns des livres indiqués sur la liste suivante. [...] Vattel, Le Droit des gens, Paris, 1863, 3 vol. in -8° » (Lettre à Monsieur Klein du 31 mars 1873, Pléiade, t. IV, p. 654). Les notes ont donc été prises durant cette période et ont servi pour la préparation du 6e chapitre de Bouvard et Pécuchet. L’édition consultée est celle qui a paru chez J.-P. Aillaud en 1830 pour les volumes I et II, et en 1838 pour le volume III, comme Flaubert l’indique en bas du folio 162v : « (ce 3e vol. est daté de 1838) ». Les notes concernent de nombreux thèmes comme l’origine des gouvernements, le rapport entre le gouvernement et le citoyen, le rôle de la Nation, la question de la liberté, le pouvoir du prince, le droit de grâce, le droit de punir, la propriété, etc.

2"nature" dans l'ouvrage de Vattel (t. I, p. 46).

3"prince" dans l'ouvrage de Vattel (t. I, p. 79).

4"prince" dans l'ouvrage de Vattel (t. I, p. 87).

5"succession" dans l'ouvrage de Vattel (t. I, p. 101).

6"prince" dans l'ouvrage de Vattel (t. I, p. 97).

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