Fragments et références bibliographiques exactes |
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[n°1]
Marchandises étrangères. tout état est en droit de les prohiber. Car on peut forcer à acheter. p.119. mais ce n’est pas l’état qui achète, ce sont les particuliers. la prohibition est un attentat au droit naturel !
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 119.
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[n°2]
La liberté de philosopher « est l’âme de la république des lettres. ch XI. 114.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 136.
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[n°3]
une Nation doit ĂŞtre pieuse. (ch XII.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 147.
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[n°4]
elle doit être éclairée
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 148.
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[n°5]
La liberté des consciences est de droit naturel & inviolable.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 149.
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[n°6]
la Religion du plus gd nombre — deviendra la Religion de l’État.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 150.
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[n°7]
au XVIe siècle, les cantons de Glaris & d’Appenzell se divisèrent en deux partis, protestant & catholique. Chaque partie a son gouvernement intérieur mais elles se réunissent p- les affaires du dehors & ne forment qu’une même république, un même canton.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 151.
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[n°8]
la tolérance de toutes les religions est le meilleur moyen de prévenir les querelles religieuses. XII. 135
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 156-157.
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[n°9]
La différence de religion ne doit pas dépouiller le Prince de sa couronne. les romains payens obéirent à Constantin - & les chrétiens à X Julien
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 158.
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[n°10]
Les missionnaires détruisirent les Hurons. le P. Charlevoix, (nouvelle France) dit que gd nombre de néophytes oublièrent tout pr ne penser qu’aux choses de la foi, la division se mit entr’eux & le reste de la Nation qui fut bientôt subjugué par les Iroquois. p. 161.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 161-162.
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[n°11]
le pouvoir du Prince est au-dessus de celui des ministres de la Religion. un évêque ne peut résister aux ordres du souvera aux arrêts des tribunaux du culte Mais le Prince doit rendre les ministres respectables au peuple.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 162-163.
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[n°12]
argument contre l’immission du temporel dans le spirituel. // Les premiers empereurs chrétiens exerçaient toutes les fonctions de chefs de l’Église, ils assemblaient les conciles, destituaient les évêques.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 164-165.
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[n°13]
pas de tribunaux ecclésiastiques. tout citoyen doit être soumis à l’autorité publique.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 176.
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[n°14]
Droit de grâce. // (faux) // L’exécuteur des lois a le pouvoir d’en dispenser, lorsqu’il le peut sans faire tort à personne Mais il ne doit avoir en vue que le gd avantage de la société.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 196.
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[n°15]
les Pères de l’Église contre le mariage. (v.p. 202) textes de Tertulien de exhort. Castit. et St Gérôme.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 202.
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[n°16]
Droit des Exilés & réfugiés. la Nation ne peut les punir pr des crimes commis hors de son territoire « car la nature ne don aux hommes & aux nations le droit de punir que pr leur défense & leur sûreté. – d’où il sui que l’on ne peut punir que ceux par qui on a été lésé. Mais les assassins, les incendiaires, les empoisonnés peuvent être exterminés X partout où on les saisit parce qu’ils attaquent & outragent toutes les nations.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 238.
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[n°17]
prodigue. tout propriétaire a le droit de disposer de son bien « Cependant le souverain comme père faux peuple de son père, peut & doit retenir un dissipateur & l’empêcher de courir à sa ruine surtout si ce dissipateur est père de famille ! » XX. § 254.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 248.
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[n°18]
usage de la mer - libre celui qui pêche en pleine mer ne nuit à personne – elle est inépuisable (265.) – & les baleines ? & les perles ?
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 265.
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[n°19]
offices d’humanité ce qu’un homme doit aux autres hommes, une Nation le doit aux autres nations X faux « ainsi quand un état voisin est injustement attaqué par un ennemi puissant qui menace de l’opprimer, si vous pouvez le défendre sans vous exposer à un gd danger il n’est pas douteux que vous ne deviez le faire. » liv II. ch Ier § 4.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 280.
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