| Fragments et références bibliographiques exactes |
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[n°1]
L’allié du roi déchu ne doit pas l’aider contre la Nation qui a usé de son droit en le déposant s’il l’entreprend, il fait injure à cette nation » liv 1/2 ch XII. 196 -
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 405.
Dans: Le droit des gens -
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[n°2]
Sponsio ——— = accord touchant les affaires d’État, fait par une personne publique, en dehors des termes de sa commission, & sans ordre du souverain. Ex. des Fourches Caudines page 4
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 416-417.
Dans: Le droit des gens -
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[n°3]
Pufendorf trouve qu’il n’avait rien d’insupportable ! il compte p- rien l’ignominie qui en eut rejailli sur la république entière.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 425.
Dans: Le droit des gens -
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[n°4]
atteintes données par les papes au droit des gens. v p. 433.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 433.
Dans: Le droit des gens -
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[n°5]
les assévérations = formules destinées à donner plus de force aux expressions, telles que « saintement, irrévocabl servent à marquer que l’on s’engage avec connaissance de cause. de là vient qu’elles renden l’infidélité plus honteuse.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 437.
Dans: Le droit des gens -
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[n°6]
otage le un sujet peut être donné en otage malgré lui. Le vassal, non. Car ce qu’il doit au souver est déterminé par les conditions du fief. & il n’est tenu à rien de plus. » ch XVI.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 449-450.
Dans: Le droit des gens -
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[n°7]
De l’interprétation des Traités chicane sur les mots. Périclès déposer le fer
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 1. - p. 439.
Dans: Le droit des gens -
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[n°8]
Mahomet « épargner sa tête, fit couper l’hom en deux Tamerlan, ne pas répandre le sang, - enterrer vifs, tous les soldats de Sébaste
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 9.
Dans: Le droit des gens -
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[n°9]
le talion — appelé par les anciens le droit de Rhadamante cette idée vient « de la fausse notion par laquelle on se représente le mal, comme une chose dign essentiellemt & en soi, de punition. » liv 2. ch 18. § 339.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 64.
Dans: Le droit des gens -
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[n°10]
droit de rétorsion quand un souverain déclare qu’il usera envers les sujets d’une Nation, de la même m dont elle use envers les siens
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 66.
Dans: Le droit des gens -
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[n°11]
androlepsie = prise d’homme - on peut arrêter qq citoyens d’une nation & ne les relâcher que quand on a reçu une entière satisfaction.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 73.
Dans: Le droit des gens -
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[n°12]
Le Souverain ne doit pas se laisser braver. Ainsi il doit user de représailles
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 74.
Dans: Le droit des gens -
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[n°13]
La guerre est cet Ă©tat, dans lequel on poursuit son droit par la force liv 3.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 77.
Dans: Le droit des gens -
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[n°14]
Tous les citoyens doivent être soldats - les armées permanentes sont les instruments du despotisme (ch III. 50.)
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 115.
Dans: Le droit des gens -
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[n°15]
Les manifestes de guerre ne doivent pas ĂŞtre injurieux.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 123.
Dans: Le droit des gens -
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[n°16]
il est interdit d’empoisonner les fontaines. Mais il est permis de détourner l’eau ! « c’est une voie plus douce que celle des armes ! » liv III. ch 8 197.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 193.
Dans: Le droit des gens -
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[n°17]
intervention étrangère. Les nations étrangères ne doivent pas s’ingérer dans le gouvernemt intérieur d’un état indépendant. ce n’est point à elle de juger de l’intérieur cependant si un parti implore leur assistance et qu’elles le jugent bon, elles peuvent le secourir, « tout comme il leur est libre d’épouser la querelle d’une nation qui entre en guerre avec une autre si elles le trouvent juste » p. 298.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 298.
Dans: Le droit des gens -
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[n°18]
L’interprétation du traité de paix se fait contre celui qui a donné la loi – car c’est lui qui l’a dicté. c’est sa faute s’il ne s’est pas énoncé plus clairement.
Référence exacte :
Royer-Collard, P.-P. (trad.) ; Vattel, E. - Le droit des gens - t. 2. - p. 321.
Dans: Le droit des gens -
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Cote g226 - vol. 6 - f°161 - Verso - 
f°162 - Recto | f°162 - Verso