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L’allié du roi déchu ne doit pas l’aider contre la Nation qui a usé de son droit en le déposant
s’il l’entreprend, il fait injure à cette nation » liv 1 2 ch XII. 196 - -
Sponsio — = accord touchant les affaires d’État, fait par une
personne publique, en dehors des
termes de sa commission, & sans ordre du souverain. Ex. des Fourches Caudines page 4 -
Pufendorf trouve qu’il n’avait rien d’insupportable ! il
compte p- rien
l’ignominie qui en eut rejailli sur la république entière. -
atteintes données par les
papes au droit des gens. v p. 433. -
les assévérations = formules destinées à donner plus de force aux
expressions, telles que « saintement, irrévocabl
servent à marquer que l’on s’engage avec connaissance de cause. de là vient qu’elles renden
l’infidélité plus honteuse. otage
-
un
le
sujet peut être donné en otage malgré lui. Le vassal, non. Car ce qu’il doit au
souver
est déterminé par les conditions du fief. & il n’est tenu à rien de plus. » ch XVI. chicane sur les mots.
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De l’interprétation des Traités
Périclès déposer le fer -
Mahomet « épargner sa tête, fit couper l’hom en deux
Tamerlan, ne pas répandre le sang, - enterrer vifs, tous les soldats de Sébaste -
le talion —
…trep appelé par les anciens le droit de Rhadamante
cette idée vient « de la fausse notion par laquelle on se représente le mal, comme une chose dign
essentiellemt & en soi, de punition. » liv 2. ch 18. § 339. droit de rétorsion
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quand un souverain déclare qu’il usera envers les sujets d’une Nation, de la même m
dont elle use envers les siens -
androlepsie = prise d’homme - on peut arrêter qq citoyens d’une nation
&
ne les relâcher que quand on a reçu
une entière satisfaction. -
Le Souverain
ne doit pas se laisser braver. Ainsi il doit user de représailles
-
La guerre est cet Ă©tat, dans lequel on poursuit son droit par la
force
liv 3.
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Tous les citoyens doivent être soldats - les armées permanentes sont les instruments du
despotisme
(ch III. 50.)
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Les manifestes de guerre ne doivent pas ĂŞtre injurieux.
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il est interdit d’empoisonner les fontaines. Mais il est permis de
détourner l’eau !
« c’est une voie plus douce
que celle des armes ! » liv III. ch 8 197. intervention étrangère.
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Les nations étrangères ne doivent pas s’ingérer dans le gouvernemt intérieur d’un
état indépendant. ce n’est point à elle de juger de l’intérieur
cependant si un parti implore leur assistance et qu’elles le jugent bon, elles
peuvent le secourir, « tout comme il leur est libre d’épouser la querelle d’une
nation qui entre en guerre avec une autre si elles le trouvent juste » p. 298. -
L’interprétation du traité de paix se fait contre celui qui a donné la loi – car c’est lui qui l’a
dicté. c’est sa faute s’il
ne s’est pas énoncé plus clairement.