fermer

f°160 - Verso | f°161 - Recto << Cote g226 - vol. 6 - f°161 - Verso -  >> f°162 - Recto | f°162 - Verso

Cote : g226_6_f_161__v____ | ID_folio : 2015 | ID_Transcription : 2923 | ID_Image : 6044
L’allié du roi déchu ne doit pas l’aider contre la Nation qui a usé de son droit en le déposant s’il l’entreprend, il fait injure à cette nation »liv.2ch. XII. § 196 -
Sponsio — = accord touchant les affaires d’État, fait par une personne publique, en dehors des termes de sa commission, et sans ordre du souverain. Ex. des Fourches Caudinesp. 417
Pufendorf trouve qu’il n’avait rien d’insupportable ! il compte pour rien l’ignominie qui en eut rejailli sur la république entière.Réf. bibl.
atteintes données par les papes au droit des gens. v.p. 433.
les assévérations = formules destinées à donner plus de force aux expressions, telles que « saintement, irrévocablement servent à marquer que l’on s’engage avec connaissance de cause. de là vient qu’elles rendent l’infidélité plus honteuse.Réf. bibl.
otage
le sujet peut être donné en otage malgré lui. Le vassal, non. Car ce qu’il doit au souverain est déterminé par les conditions du fief. et il n’est tenu à rien de plus. »ch. XVI.
chicane sur les mots.
De l’interprétation des Traités1 Périclès déposer le ferRéf. bibl.
Mahomet « épargner sa tête, fit couper l’homme en deux Tamerlan, ne pas répandre le sang, - enterrer vifs, tous les soldats de SébasteRéf. bibl.
le talion — appelé par les anciens le droit de Rhadamante cette idée vient « de la fausse notion par laquelle on se représente le mal, comme une chose digne essentiellementet en soi, de punition. »liv. 2. ch. 18. § 339.
droit de rétorsion
quand un souverain déclare qu’il usera envers les sujets d’une Nation, de la même manière dont elle use envers les siensRéf. bibl.
androlepsie = prise d’homme - on peut arrêter quelques citoyens d’une nation et ne les relâcher que quand on a reçu une entière satisfaction.Réf. bibl.
Le Souverain2 ne doit pas se laisser braver. Ainsi il doit user de représaillesRéf. bibl.
La guerre est cet Ă©tat, dans lequel on poursuit son droit par la forceliv. 3.
Tous les citoyens doivent être soldats - les armées permanentes sont les instruments du despotisme(ch. III. § 50.)
Les manifestes de guerre ne doivent pas ĂŞtre injurieux.RĂ©f. bibl.
il est interdit d’empoisonner les fontaines. Mais il est permis de détourner l’eau ! « c’est une voie plus douce que celle des armes ! »liv. III. ch. 8 §157.
intervention étrangère.
Les nations étrangères ne doivent pas s’ingérer dans le gouvernement intérieur d’un état indépendant. ce n’est point à elle de juger de l’intérieur cependant si un parti implore leur assistance et qu’elles le jugent bon, elles peuvent le secourir, « tout comme il leur est libre d’épouser la querelle d’une nation qui entre en guerre avec une autre si elles le trouvent juste »p. 298.
L’interprétation du traité de paix se fait contre celui qui a donné la loi – car c’est lui qui l’a dicté. c’est sa faute s’il ne s’est pas énoncé plus clairement.Réf. bibl.

Transcription : Biagio Magaudda

Page de notes de lecture


Notes

1"traités" dans l'ouvrage de Vattel (t. II, p. 8).

2"souverain" dans l'ouvrage de Vattel (t. II, p. 67).

Texte incluant cette page
Si vous avez relevé une erreur de transcription ou de normalisation, si vous pensez avoir déchiffré un mot illisible, prenez contact avec nous :