- L’expérience nous apprend que le travail de rédaction n’est jamais plus mal placé
que dans une assemblée »p. 164.
- ... « il en coûte à la liberté de remplacer l’habitude par
l’innovation
l’affection par la crainte et le respect par le calcul de l’utilité. »p. 178.
- - différentes espèces de monarchies électives en Europe.p. 181-182énumération curieuse.
- La Monarchie est née des révolutions - c’est au milieu
des dangers d’une lutte mortelle
qu’elle devient le refuge des peuples -p. 197 –
- La lutte pour l’existence appelle la dictature.Réf. bibl.
- tout pouvoir qui s’exerce en vue du lucre doit exciter la défiance.
son but n’est pas
le bien public mais l’art de gagner des abonnés.
« c’est pour se faire lire que le journaliste attaque les institutions de son pays, qu’il
déconsidère le pouvoir, qu’il sème d’épines toute carrière publique, qu’il en écarte
tous ceux à qui l’intrigue n’a pas fait un front d’airain, qu’il épie les secrets
de
l’état, proclame sa faiblesse ou ses irrésolutions etrévèle ses projets aux
ennemis de la patrie comme aux abonnés de son journal.
»p. 205.
- critique des gouvernements ecclésiastiques. - et ils furent regrettés par leurs sujets
(p. 208.
- Il y avait en Allemagne (vp. 210) 70 royautés électives réservées aux membres
de l’Église.
- Il faut un Ă©goĂŻsme national qui se fasse toujours entendre le premier
dans
toute délibération. Le Prince3 doit être l’organe de cet égoïsme. il faut qu’avant
toute autre pensée, il
soit toujours frappé de l’intérêt de conservation de ce corps
qu’il dirige, sous peine de le voir
bientôt périr. »p. 239.
- sa responsabilité de l’événement est diminuée à proportion du nombre de ses
collègues. il y
attache quelquefois si peu d’importance qu’on l’a vu se moquer à haute
voix de la sottise qu’il allait
faire.RĂ©f. bibl.
- la Chambre des députés prouve qu’un corps nombreux peut montrer moins
de connaissance de ce qu’il décide, - que n’en
aurait eu chacun des
membres, dont il se compose s’il avait été pris à part.Réf. bibl.
- origine complètement différente de l’aristocratie républicaine et de la noblesse féodale
l’aristocratie républicaine a un caractère diamétralement opposé à celui de la
démocratie. – sa vertu principale c’est l’amour de la patrieRéf. bibl.
- les monarchies et les démocraties sont changeantes. l’aristocratierépublicaine est conservatrice. Rome, la Grèce, Venise. – et économe.(p. 256-257.)