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: Beccarelli composa des pastilles qui excitaient des ardeurs irrésistibles de concupiscence.Réf. bibl.

: Ire. Il faut que l’homme annihile ses facultés, c’est là toute la vie intérieure.(p. 104)
: IV. L’activité naturelle est ennemie de la grâce. Elle empêche l’action de Dieu. Dieu veut agir en nous, sans nous.Réf. bibl.
: L’âme ne doit penser ni à la récompense, ni au châtiment, ni au Paradis ni à l’enfer ni à la mort, ni à l’Éternité.Réf. bibl.
: Au contraire, la Sainte Écriture et les Pères recommandent de penser fréquemment aux fins dernières.Réf. bibl.
: XVII. Ne pas tenir compte des tentations. « Si la nature remue il faut la laisser remuer. » Réf. bibl.
: XXVIII. Le dégoût des choses spirituelles est bon. Il purifie l’amour-propre.(p. 149)
: Les mortifications sont inutiles, il faut s’en délivrer. (Proposition 38)
Les Bégards condamnés par Clément V, pensaient de même.(p. 161)
: Pollutions, volontaires, innocentes – le Démon étant le plus fort. (Proposition 41)(p. 164)
: Il n’est même pas nécessaire de se confesser de ces choses.(p. 169)
: « Job se polluait de ses mains par la violence du démon dans le même temps qu’il adressait à Dieu des prières pures. »(p. 172)

: (Explication des maximes des saints) distingue 5 sortes d’amour.Réf. bibl.
: Dans l’état de vie contemplative, on laisse tout motif intéressé de crainte et d’amour.Réf. bibl.
: Dans l’état de sainte indifférence, nous ne voulons rien pour nous. Voir proposition V.(p. 200)
: Les actes de la partie inférieure émanent d’une perturbation aveugle et involontaire.Réf. bibl.
: Pourquoi condamnable ? Les âmes contemplatives perdent la pensée distincte de Jésus-Christ. Elles ne se souviennent plus de l’humanité du Sauveur.Réf. bibl.
Ainsi à force d’entrer dans l’idée de Dieu, le Christ disparaît. Vous élevez Jésus, il n’est plus le Sauveur.
: Il faut que l’image du Crucifié soit dans votre esprit. (p. 221)
: L’amour pur conduit à l’indifférence du salut. L'âme en fait le sacrifice. Après cela on supprime les efforts spontanés, l’exercice des vertus.Réf. bibl.

: Les révélations de la Cité mystique sont des mystères que Jésus crut ne pas devoir révéler aux Apôtres.Réf. bibl.
: La Vierge pria sa mère de lui faire une robe de couleur cendrée semblable à celle que les clarisses portent maintenant.Réf. bibl.
: La Vierge à plusieurs princes qui la consultèrent, enseigna la manière de gouverner les États.Réf. bibl.
: La Vierge reçut de ses mains, la tête de saint Jean-Baptiste et Jésus soutenait le corps. (p. 253)
: La Vierge conseilla aux Apôtres de composer le symbole. Dans ce but, elle jeûna pendant quarante jours. J.-C. descendit personnellement du ciel. Saint Pierre dit la messe, et donna la communion à Marie et aux apôtres.(p. 255)
Dans l’église d’Harcourt (Calvados) j’ai vu un tableau où la Sainte Vierge communie.

Notes

1Ce fragment ne se trouve pas dans l’ouvrage de Chaillot.

2Flaubert semble faire référence à une visite personnelle de cette église.