Des
Les Principes de 89
&
la Doctrine
Catholique
par l’abbé Léon Godard.
1863.
-
Déclaration des droits de l’homme
&
du citoyen - votée en 1789 mise en tête de la constitution 7bre
1791.
-
on y remarque. l’absence totale du sentiment chrétien -
&
l’exclusion de toute parole qui rappelle l’Évangile
-
Le mot de religion n’est pas même prononcé
-
La Constituante s’est préoccupée des droits
&
très peu des devoirs.
-
« nous lui demandons (à la société) les moyens d’assurer
&
d’améliorer le bien-être
physique, intellectuel moral & religieux de ses membres »  37. c’est la formule
St Simonienne ! -
sur le droit de révolte opposez St
thomas Ă De Maistre
 41.
-
si les chrétiens n’ont pas déposé Néron c’est qu’ils étaient trop faibles. (Bellarmin
 53.
-
Par le suffrage universel, il s’ensuit que le Peuple est infaillible, qu’il peut manquer à tous les
contrats, qu’il a une autorité supérieure à celle de la raison. Le suffrage universel
est au-dessus du droit naturel & de la Raison. -
- Les Peuples, en cas de conflit entre eux
&
le Souverain devraient recourir au Pape
-
La Ligue que nous ne pouvons pas nous lasser d’étudier
&
d’admirer, malgré les fautes qui la
déparent. - eut l’approbation du St -Siège Pape . Jamais il ne l’eût approuvée
si elle n’eût été juste »  63. -
Leibnitz était d’avis d’établir à Rome un tribunal p. juger les différents entre
les Princes & d’en faire le Pape président. -
La première raison d’être de la Souveraineté ne se trouve ni dans la nation ni dans le Prince, mais
en Dieu. il y a donc dans toute nation un pouvoir politique de droit
divin -
La nation est une personne morale. Elle contracte des engagements !
(Â 84)
-
Suarez
&
Bellarmin contraires Ă Bossuet.
(Â 88)
-
« c’est Dieu qui fait les Rois
&
qui établit les maisons régnantes »
– Politique sacrée -
« Le pouvoir des Rois ne vient pas tellement de Dieu qu’il ne vienne aussi du
consentement des peuples ; c’est ce que personne ne nie. »
Défense du clergé de France (v. p 92 &  94.) -
Que deviendrait la Morale, si après avoir déclaré l’homme libre, on ne mettait de limites à sa
liberté
que le respect des droits de ses semblables » à propos de l’art 5. -
art. 6. « La loi est l’expression de la volonté générale. »
-
La définition de St
thomas vaux mieux. - « La loi est une règle de la raison
p. le bien commun promulguée par la charge de celui qui a la communauté ! » ( 105) -
Les libertés communales sont nées sous l’autorité tutélaire des évêchés !
(Â 118)
- « quelle peste plus mortelle p. l’âme que la liberté de l’erreur » St Augustin.