Essai sur le Principeprincipe générateur des Constitutionsconstitutions politiques, &et des autres institutions humaines
- Les lois fondamentales ne peuvent être écrites à priori. – elles sont
l’ouvrage d’une force supĂ©rieure Ă
l’homme - &et l’écriture très postérieure
est prpour elle, le plus gdgrand signe de nullitéRéf. bibl.
- « laLa véritable constitution anglaise est cet esprit public, admirable, unique, infaillible
au-dessus
de tout éloge, qui mène tout, qui sauve tout. – ce qui est écrit n’est
rien.RĂ©f. bibl.
- lesLes codes ne signifient rien. – même les codes de croyance.Réf. bibl.
- « cherchezCherchez ailleurs plus de déraison, plus d’indécence, plus de mauvais goût même
vous n’y réussirez pas
!RĂ©f. bibl.
- « siSi l’on n’en vient pas aux anciennes maximes, si l’éducation n’est pas
rendue aux prêtres, &et si la science n’est pas mise partout à la seconde place
les maux qui nous attendent sont
incalculables. nous serons abrutis par
la Science, &et c’est le dernier degré de l’abrutissement » –Réf. bibl.
- « Voltaire qui parla de tout pendant un siècle, sans avoir jamais percé une
surface ! » –Réf. bibl.
Jugement sur « l’Essai sur les Mœurs »
Des délais de la Justicejustice divine
-
 gdsgrandsGrands HomHommeshommes
- Plutarque est pénétré de l’esprit chrétien !(Préface)
- De M.Maistre fait disparaître la forme du dialogue « qui me gênait en
pure perte. » Lorsque dans le courant de
l’ouvrage sa pensée m’a paru
incomplète, j’ai cru pouvoir la terminer, &et qqfoisquelquefois aussi la fortifier par
de nouveaux aperçus que je dois à mes propres réflexions ou à la lecture
de Platon etc.RĂ©f. bibl.
- Amyot. : « sonSon orthographe égare l’œil., l’oreille ne supporte pas ses vers., les dames surtout &et les étrangers le goûtent peu ! »Réf. bibl.
- ididemId. sur Platon de
Perrault.RĂ©f. bibl.
- ilIl est certain, en thèse générale, que les sacrilèges ont toujours été punis, &et rien
n’est plus juste car le pillage ou la profanation, d’un temple même
paĂŻen, suppose
le mépris de ce Dieu, quel qu’il soit, qu’on y adore ; &et ce mépris
est un crime à moins qu’il n’ait prpour motif l’établissement du culte légitime
qui même exclut sévèrement toute espèce de crimes &et de violences ! »Réf. bibl.
- « jeJe me borne à observer que l’importance accordée à cette classe d’hommes (les comédiens)
au théâtre
en général, mais surtout au théâtre lyrique est une mesure infaillible
de la dégradation morale des
nations. ceCe thermomètre n’a jamais trompé. »Réf. bibl.
- ilIl y a des présomptions prpour croire que Platon &et Plutarque avaient lu nos livres saints !Réf. bibl.
Plutarque
 classiquesClassiques corrigés
Amyot