- Partout oĂą vous verrez un autel, lĂ se trouve la civilisation. Le pauvre
en sa cabane
oĂą le chaume le couvre est moins savant que nous, sans doute
mais plus véritablement
social, s’il assiste au catéchisme &et s’il en profite –Réf. bibl.
- La grèceGrèce rendit hommage à cette vérité, en plaçant l’âge d’or à l’origine
des
choses.RĂ©f. bibl.
- - par suite d’un crime inouï &et qui n’est plus possible «parce que nous n’en
savons heureusement plus assez p.pour devenir coupables Ă ce point, un chef dude peuple
transmit l’anathème à sa postérité. – &et toute force constante étant de sa nature
accélératrice puisqu’elle s’ajoute
continuellement à elle-même, cette dégradation
pesant sans intervalle sur les descendansdescendants, en a fait Ă la fin ce que nous
appelons des Sauvages.RĂ©f. bibl.
- « d’où vient qu’on trouve dans les langues primitives de tous les anciens peuples
des
mots qui supposent nécessairement des connaissances étrangères à ces peuples »Réf. bibl.
- « j’ai d’ailleurs, qquequoique je ne sois pas chimiste d’excellentes raisons de croire que
tout ce
dictionnaire sera effacé - mais à ne l’envisager que sous le point de
vue philosophique &et grammatical, il serait peut-être ce qu’on peut imaginer
de plus malheureux, si
la nomenclature métrique n’était venue depuis
disputer &et remporter prpour toujours la palme de la barbarie. L’oreille superbe du
gdgrand siècle l’aurait rejetée avec un frémissement douloureux - » -Réf. bibl.
- Si on avait un dictionnaire des langues des Sauvages on y trouverait des restes Ă©vidents
d’une langue
antérieure parlée par un peuple éclairéeéclairé. - &et quand même nous ne les
trouverions pas, il en résulterait seulement
que la dégradation est arrivée au
point d’effacer ces derniers restes : etiam periere
ruinae » –Réf. bibl.
- - Je ne connais pas un de ces messieurs à qui le titre sacré d’honnête
homme
convienne parfaitement »Réf. bibl.
- « il est devenu tout à fait inutile de parler de l’aventure de Galilée, dont
les torts
ne sont plus ignorés que de l’ignorance » - (note)Réf. bibl.
- L’aveugle-né de l’Évangile « portait la peine de ses propres fautes – ou de celles de ses pères. » je comprends à merveille que cette cécité pouvait n’avoir d’autre cause que celle de la manifestation solennelle d’une puissance qui venait changer le monde » - Ainsi Dieu avait fait l’aveugle-né p.pour avoir l’occasion de le défaire ! - &et par là , de manifester sa puissanceRéf. bibl.! ! !