Soirées de StSaint-Pétersbourg, 2
- Supplice
- toutTout supplice supplie, supplicium. « malheurMalheur donc à la nation qui
abolirait les supplices ! Car la dette de chaque coupable ne
cessant de
retomber sur la nation, celle-ci serait forcée de payer sans miséricorde
et
pourrait mĂŞme Ă la fin se voir traiter comme insolvable, selon toute
la rigueur des lois. » Réf. bibl.
- « Jeunesse inconsidérée ! quandQuand tu portes la main sur quelque livre de ces hommes
pervers, souviens-toi que la première
qualité qui leur manque, c’est
toujours la probité. » – (noteNote.)Réf. bibl.
- IVe -
- « sesSes œuvres ne sont pas mortes ; elles vivent, elles nous tuent. ilIl me semble
que ma haine est suffisamment justifiée.Réf. bibl.
- - -[…] « avecAvec cent volumes, ne fut jamais que joli - j’excepte la tragédie
oĂą la nature de
l’ouvrage le forçait d’exprimer de nobles sentiments,
étrangers à son caractère.Réf. bibl.
- « ilIl n’a pas su faire une épigramme - - -[…].Réf. bibl.
- « ilIl est insupportable dans l’histoire -. » Les contes ne sont
même pas mentionnés !Réf. bibl.
- « uneUne monotonie assoupissante plane sur la plupart de ses écrits
qui n’ont que deux
sujets, la bibleBible &et ses ennemis. ilIl blasphème ou il
insulte. » Réf. bibl.
- « n’N'avez-vous jamais remarqué que l’anathème divin fût écrit sur son
visage ?Réf. bibl.
- ilIl s’agit de la statue d’Houdonde Houdon ! (voyvoyezVoy. la note à la fin de l’entretien :
« voyezVoyez ce front abject que la pudeur ne colora jamais, ces deux cratères
Ă©teints oĂą
semblent bouillonner encore la ha luxure &et la haine !
- -[…] ce rictus épouvantable, etc.Réf. bibl.
- neNe me parlez pas de cet homme je n’en puis soutenir l’idée !Réf. bibl.
- « d’autresD'autres cyniques étonnèrent la vertu, Voltaire étonne le vice.
Il se plonge dans
la fange, s’il s’y roule, il s’en abreuve. »Réf. bibl.
- « Paris le couronna, Sodome l’eût
banni ! » Je crois
bien !Réf. bibl.
- - -[…] sesSes inimitables talenstalents ne m’inspirent plus qu’une espèce de rage sainte qui n’a pas de nom ! » enEn quoi inimitables, ô Demaistrede Maistre, puisque vous venez de prouver qu’il n’en avait aucun. « Suspendu entre l’admiration &et l’horreur qqfoisquelquefois je voudrais lui faire élever une statue - -[…] par la main du bourreau. »Réf. bibl.
gdgrandsGrands HomHommeshommes
VoltaireaveuAveu
Voltaire