Soirées de StSaint-Pétersbourg 3.
- Le libre arbitre. De M.Maistre avoue que la question
n’est pas claire
- « c’est un abîme où il fvaut mieux ne pas regarder. »Réf. bibl.
- « il n’y a point de philosophie, sans l’art de mépriser les objections ! » -Réf. bibl.
- « La philosophie du dernier siècle qui fournira aux yeux de la postérité une des plus
honteuses époques de l’esprit
humain » -Réf. bibl.
- « croyez-moi, ne vous fiez point à Locke qui n’a jamais rien compris à fond.Réf. bibl.
- « L’immense majorité de nos idées ne vient pas de nos sens »Réf. bibl.
- Locke dans le premier livre de son triste essai écume l’histoire et les voyages
p.pour faire rougir l’humanité. il cite les dogmes &et les usages les plus honteux
etc.RĂ©f. bibl.
- - De M.Maistresoutientpenche à croire que Voltaire n’a pas dû prendre connaissance par lui-même
de l’essai sur
l’entendement humain. Il en parle sans le connaître !Réf. bibl.
- « La moindre opinion que vous lancez sur l’Europe (les Français) est un bélier
poussé
par trente millions d’hommes ! »Réf. bibl.
- La guerre est une loi naturelle - très belle page. 28. (éditédition de 1850 pélagaud.)Réf. bibl.
- « nous l’aimons tous, parce qu’elle nous met à l’aise. »Réf. bibl.
- « elle est de sa nature, malè suada, mauvaise conseillèreRéf. bibl.
- on ne peut nier ce qui n’est pas. L’homme ne peut concevoir que ce
qui est. - l’athée prpournier Dieu, le suppose.Réf. bibl.
- « il appartient aux prélats, aux nobles, aux gdsgrands officiers de l’état d’être les
dépositaires &et les gardiens des vérités conservatrices, d’apprendre aux nations
ce qui est mal &et ce qui est bien - ce qui est vrai &et ce qui faux dans
l’ordre moral &et spirituel. Les autres n’ont pas le droit de raisonner sur
ces sortes de
matières. Ils ont les sciences naturelles prpour s’amuser. De
quoi pourraient-ils se plaindre ? »(8e entretien p.page 131)
- Quant Ă celui qui parle ou Ă©crit p-pour Ă´ter un dogme national au
peuple, il doit ĂŞtre pendu, comme voleur domestique.
Rousseau mĂŞme
en est convenu, sans songer à ce qu’il demandait prpour lui. Pourquoi a-t-on
commis l’imprudence d’accorder la parole à tout le monde
»(p.page132 8eentHuitième entretien)
- Sénéque disciple de StSaint Paul. cela est certain prpour De Maistre.Réf. bibl.
- Les juifs — « qu’on représente comme un peuple farouche &et intolérant étaient cependant à certains égards, le plus tolérant de tous »(p.page 176. 9eentretNeuvième entretien)