| Fragments et références bibliographiques exactes |
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Essai sur l’indifférence en matière de Religion // Lamennais // tournachon. Paris 1818.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion. - 1818-1843.
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[n°1]
jugement sur le Moyen âge ! // « cependant malgré les désordres partiels & de légères déviations l’Europe s’avançait vers la Perfection où le christianisme appelle les peuples comme les individus lorsque la Réforme vint subitement arrêter ses progrès » etc - t 1er p. 52.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 52.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°2]
Cause de la Révolution ? // « un peuple athée ne saurait subsister - puisque la seule tentative de substituer l’athéisme à la Religion a bouleversé de fond en comble la société en France » 69.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 68-69.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°3]
la religion bonne p. le peuple. // belle phrase de Condorcet - // « toute religion qu’on se permet de défendre comme une croyance qu’il est utile de laisser au peuple ne peut plus espérer qu’une agonie plus ou moins prolongée. » // esq. d’un tableau des progrès de l’esprit humain.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 102.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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Source alternative :
Condorcet, J.-A.-N. C. . - Esquisse d'un tableau historique des progrès de l'esprit humain. - 1794
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[n°4]
la Philosophie // « Depuis Aristippe jusqu’à Diderot, elle n’a jamais su que mettre les passions à l’aise en s’efforçant de concilier les devoirs de l’homme avec ses penchants, ou plutôt en faisant de ses penchants l’unique règle de ses devoirs. Aussi n’est-il point de religion, fût-ce celle des Druides dont la morale ne soit préférable à la morale philosophique » 133.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 133.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°5]
- « la philosophie orgueilleusement abjecte, n’a jamais pu comprendre en quoi consiste la vraie grandeur de cette noble faculté (la raison) que tantôt elle abaisse au-dessous de X l’instinct de la brute. & tantôt elle élève au-dessus de Dieu même ». (188.)
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 187-188.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°6]
jugement sur les hérétiques du Moyen-Âge. // « avant la réformation, pas un sectaire n’attaqua directement l’autorité de l’Église pas un ne lui contesta le droit de juger de la foi, & ne révoqua en doute l’infaillibilité de ses décisions » 197.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 197.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°7]
« Aucune religion ne peut subsister qu’en repoussant toutes les autres. elles expirent en s’embrassant » 248. // et toutes celles de l’Antiquité ?
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 248.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°8]
Mr de Bonald « le philosophe le plus profond qui ait paru en Europe depuis Malebranche ! » 296.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 296.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°9]
hist // la grèce // « l’instructive histoire de cette nation célèbre n’est guère que l’histoire du crime & du malheur » 376.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 376.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°10]
hist // Rome « fut d’abord gouvernée par les rois ; et ce fut la cause de sa durée. Sous leur autorité pacifique, la Religion, les moeurs, les lois eurent le temps de prendre racine » 378.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 378.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°11]
« l’humanité était un sentiment si étranger à ce peuple, que le mot même qui l’exprime manque dans sa langue ». // voy. dans mes notes de cicéron - -
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 386.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°12]
tableau de la France heureuse avant la RĂ©volution. p.421.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 421.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°13]
que l’impie soit mis à mort. 424.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 424.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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[n°14]
La mort de Louis XVI. « Quand Louis monta sur l’échafaud, ce ne fut pas seulement un mortel vertueux qui succomba sous la rage de qques scélérats. ce fut le Pouvoir lui-même, vivante image de la Divinité - dont il émane, ce fut le principe de l’ordre & de l’existence politique, ce fut la société entière qui périt » 429.
Référence exacte :
La Mennais, F. - Essai sur l'indifférence en matière de religion - t. 1. - p. 428-429.
Dans: Essai sur l'indifférence en matière de religion -
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Cote g226 - vol. 6 - f°283 - Recto - 
f°283 - Verso | f°284 - Recto