La chrétienne.Chrétienne de nos jours Lettres spirituelles par L’abbé Bautain - 1859.
- le jour de la Première communion.une victime -
molochiste !
- représentez-vous que vous êtes une victime qu’on orne prpour la mener à l’autel, &et
laissez faire celles qui vous serviront »p.page 21.
- Le catéchiste qqfoisquelquefois, plaît trop aux jeunes filles. « prpour peu qu’ils aient de grâce &et de talent
il se forme autour d’eux, aux yeux des jeunes personnes une espèce
d’auréole »
cela amène à faire une jeune paroisse dans la grande.(p.pages 52-53)
- « une jeune fille de 18 ans est vraiment une fleur qui vient d’éclore. Si elle paraît
au gdgrand jour &et au gdgrand air n’est-il pas à craindre que son éclat naissant ne se
décolore plus
vite et que son parfum ne s’épuise rapidement ? »p.page 59.
- - Les danses d’autrefois, plus décentes que celles d’à présent. - on se touchait à peine du
bout des doigts.RĂ©f. bibl.
- ce sont les étrangers en 1815, qui par l’introduction de la valse, nous ont fait plus
de mal qu’ils ne savent.Réf. bibl.
- . . . « dans ce tournoiement vertigineux, le
cavalier prend sa danseuse Ă bras-le-corps, lui
étreint la taille &et la tient si rapprochée de sa poitrine que les haleines se confondent, &et il
n’y a plus même de place entre eux prpour le bouquet blanc qui ornait autrefois la ceinture
des jeunes
filles. Elles ont été obligées d’y renoncer, parce qu’il était fané, écrasé dès la
première contre-danse, triste &et frappant symbole de ce qui arrive à la fleur de leur
innocence, dès
qu’elles participent à de pareils plaisirs. – Je m’arrête, Madame, p.pour ne pas
ternir mon imagination par les souvenirs de tout ce que j’ai
vu autrefois dans les
bals ainsi pervertis, &et quand j’y prenais part. »p.page 67.
- - - - et ces hommes, parmi lesquels il y a tant de
libertins, ou au moins dont
la plupart ne cherche dans la danse qu’un plaisir
sensuel vont la serrer dans leurs
bras, contre leur poitrine, l’emporter dans
leurs mouvements désordonnés, l’agiter
dans leur tourbillon, faire battre son
cĹ“ur mĂŞm mĂŞme physiquement ! Ă
l’unisson de leur agitation, lui
communiquer par le contact la fièvre &et le désordre
de leurs sens. - - - ils darderont jusque dans son feusein le feu impur
de la volupté »p.page 68.
- les ballets de l’opéra.
prquoipourquoi les hommes sont-ils empressés d’y aller ? « c’est qu’ils y voient danser des jeunes
femmes à peu près nues, ou qui du moins le paraissent, &et que ces danseuses en exécutant
leurs mouvements avec grâce &et souplesse font ressortir les avantages de leur corps et en
laissant voir les
beautés. »(p.page 77)
- il préfère les farces, les grosses bêtises à la jocrisse, « en désopilant la rate elles sont parfois utiles à la santé du corps, sans nuire à l’âme ».(p.page 82)