- À une nouvelle Mariée
- lire les épîtres de Saint Paul où il parle du mariage. et le chapitre de l’introduction
à la vie dévote dans lequel Saint François de Sales explique à Philothée en quoi consiste
l’honnêteté du lien
conjugal. -Réf. bibl.
- Pour amener son mari à la foi, il faut cacher les petites dévotions, les scrupules dont
vous aviez l’habitude(p. 159)
- la nourrice étrangère peut avoir outre les vices du sang les vices de l’âme qui
s’infiltrent
avec le sang dans le corps de l’enfant.(p. 176)
- danger d’avoir chez soi des institutrices. c’est une tentation pour le mari - exemple l’affaire
Praslin. « je ne prétends pas Madame que les choses
aillent toujours à cette extrémité »p. 199.
- lire les p. 224-225. elle se dit « je n’irai que jusque là » mais elle cèdera tôt ou tard
«
devant les supplications, les caresses, les menaces de celui qu’elle aime »Réf. bibl.
- « Le contact des âmes amène le rapprochement des personnes, et il est impossible à deux
volontés qui tendent à s’unir de ne pas chercher
instinctivement tout ce qui sert Ă
l’union.»(p. 227.)
- l’engage à lire davantage, à étudier la Bible ! « avec la permission de votre confesseur
»p. 279.
- mauvaise tenue au sermon.Réf. bibl.
- « vous aimez la confession fréquente parce qu’on y peut parler beaucoup de soi et un peu
des autres » (p.379) - « c’est une sorte d’exhibition de vous-même de votre personne
que
vous aimez Ă montrer dans le monde et que vous venez aussi exposer dans le secret
du confessionnal.
- « Vous employez toutes les ressources de votre esprit qui en a beaucoup à ne pas articuler
ce
qu’il faudrait dire, tout en ayant l’air de le confesser - n’appelant point les choses
par leur
nom et couvrant ce qu’il y aurait de trop arrêté dans les actes par le vague des
généralités
en sorte que votre confesseur n’y comprenne rien, et que vous puissiez
néanmoins vous
rendre le témoignage illusoire d’avoir tout avoué. Vous vous imaginez par
lĂ profiter
des avantages de la confession, sans en avoir les inconvénients. »p. 380.
- - - - « passant successivement des œuvres et des grâces de Jésus-Christ aux pompes et aux
séductions de son ennemi afin d’accumuler et d’absorber dans votre cœur toutes les
jouissances qu’on peut tirer des deux
côtés. »(p. 382)
- - pas de statues, ni de statuettes indécentes ! Il blâme d’avoir vu dans sa salle à manger une Vénus et en face l’Apollon du Belvédère « donnant aux dames et aux jeunes personnes invitées à votre table l’occasion de contempler et d’admirer le corps de l’homme Quand on a sans cesse de pareils objets sous les yeux il est bien difficile qu’un jour ou l’autre une mauvaise pensée n’excite l’imagination, ne trouble les sens et ne pousse à rechercher une idole vivante, pour jouir de la beauté réelle, dont on contemple si volontiers l’image »Réf. bibl.