- - « Le spectacle de l’Humanité telle qu’elle est et non telle que la croit leur innocence
risque d’être prpour la foi une épreuve bien périlleuse.Réf. bibl.
- - Je sais bien que rien n’oblige à mettre sous les yeux de l’enfance les gdsgrands scandales de l’histoire.
- elle jette leur imagination dans mille écarts bien redoutables à leur âge &et allume
en eux la passion des lectures qui leur sont interdites.(p.pages 30-31)
- Cuvier, voulaitétablit le pr 1er prix, p.pour la dissertation latine en philosophie. arrêté de 1820. (vvoirv.ppagep. 250)
- L’étude des mathématiques, en comprimant l’ala sensibilité &et l’imagination rend qqfoisquelquefois l’explosion des passions terrible.p.page 417.
- uneUne distribution de prix « est un des beaux spectacles, des plus nobles que l’on puisse
contempler, si on a l’âme
ouverte à l’intelligence d’une telle fête.
- une distribution de
prix qque profane qu’on soit d’ailleurs a qqquelque chose de religieux prpour tousp.page 597
- « quantQuant aux critiques modernes, le meilleur au 18e siècle, c’est La
Harpe » p.page 37., t.tome 3
= Lettre Ă un homme
du mondeRĂ©f. bibl.
- « unUn évêque tout en rendant justice au génie de Molière, ne peut le nommer ici que
sous
toute réserve.Réf. bibl.
- Les lettres persannesLettres persanes « ne peuvent être lues par quiconque a un juste souci de la religion &et des mœurs.Réf. bibl.
- « est nul comme philosophe, sans autorité comme critique &et historien, arriéré comme
savant, percé à jour dans sa vie privée, &et déconsidéré par l’orgueil la méchanceté &et
petitesses de son âme &et de son caractère.Réf. bibl.
- Dup.Dupanloup excepte « la partie saine de son théâtre. » ilIl indique L’hist de Ch. XII et
le siècle de L xivL’Histoire de Charles XII et le Siècle de Louis XIV., « rien autre chose ».p.pages 48-49.
- - « j’aiJ'ai dû, il y a quinze ans, lorsque je préparais mes livres sur l’éducation lire l’Émile de
Rousseau. Je n’ai pu l’achever... il m’est resté un sentiment profond de
pitié prpour ceux qui
se nourrissent de telles lectures - »(p.page 50).
- « Je ne puis conseiller non plus tout Shakespeare à tout le monde. Il y a tel esprit léger,
tel jeu
homme, je le dis hautement, Ă qui cette lecture, par sa faute non moins que par la
faute du livre, serait mortelle.RĂ©f. bibl.
- « avecAvec de plus gdesgrandes réserves encore je nomme ici le célèbre poète allemand Goethe &et
aussi Schiller »(p.page 54
- « voyezVoyez Virgile, voyez Racine, voyez Fénelon., trois génies de même ordre, de même famille »p.page81.
- « a prpour premier caractère de lâcher les rênes à l’imagination &et à la sensibilité.
elle pervertit le goût moral - parce que c’est une littérature
enivrante &et que l’enivre
-ment qu’elle donne dégoûte profondément du beau du vrai &et du bienRéf. bibl.
- « Mais avant ces deux écrivains éminents je n’hésite pas à dire
qu’il faut faire passer
Bossuet, Fénelon, Ma Bourdaloue, Massillon ! »p.page 150.
- je me reprocherais de ne pas nommer ici -(p.page 154)
Littérature
gdgrandGrand HomHomme
Molière
Voltaire
critiqueCritique
l’ÉmileL’Émile de J J.
gdsgrandsGrandsHomHommes
Shakespeare
Goethe
Littérature contemporaine