| Fragments et références bibliographiques exactes |
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[n°1]
infaillibilité Adrien VI (1523) déclare que le pape peut se tromper & qu’il y en eut plusieurs d’hérétiques
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 227.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°2]
- appartient aux conciles, selon les conciles de Bâle & de Constance, - opinion condamnée par ceux de Florence & de Latran.
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 227.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°3]
- seize Pères cités par Launoi prétendent que par ces mots « sur cette pierre » Jésus a voulu se désigner lui-même.
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 229.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°4]
pape. tous les pères des premiers siècles n’ont pas élevé l’évêque de Rome au-dessus des autres irénée & Tertulien placent l’église de Smyrne sur la même ligne que celle de Rome Jérôme déclare formellemt tous les évêques égaux.
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 230-231.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°5]
- Ch. Marcellus au pape Jules II en plein concile « tu es un autre Dieu sur la terre »
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 232.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°6]
Sacrements il n’y en eut d’abord que deux le baptême & la Cène.
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 244.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°7]
St victor ne reconnaissait que ces deux-lĂ
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 244.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°8]
Alexandre de Hallès : le Christ n’a institué que ces deux-là .
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 244.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°9]
– La théorie des 7 sacrements fixée par St thomas d’Aquin ne fut admise au nombre des articles de foi, qu’au XVe siècle, par le concile de Florence. // on avait fait dépendre l’effet salutaire des sacrements de l’état moral du sujet mais le concile de Florence & celui de Trente décrétèrent que la grâce est conférée ex opere operato, indépendamment des dispositions morales de celui qui les administre ou qui les reçoit.
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 245.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°10]
trois choses constituent l’essence d’un sacrement - l’institution divine. le signe visible, la communication de la grâce invisible à l’âme du fidèle. // Mais où trouve-t-on dans la pénitence, l’ordre & le mariage, l’élémt visible le symbole, le signe de la chose invisible ? - où voit-on l’institution divine dans la confirmation & l’extrême-onction ?
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 247.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°11]
- en 1215, Innocent III (4e concile de Latran) ordonne à tout fidèle sous peine d’excom munication de se confesser, une fois par an.
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 254.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°12]
– Les indulgences, le rachat des fautes par de l’argent est une idée germanique. (255)
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 255.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°13]
- La théorie des œuvres surérogatoires fut admise comme dogme en 1343 par Clément VI
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 256.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°14]
L’extrême-onction n’a été placée au nombre des sacrements qu’au IXe siècle.
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 260.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°15]
Mariage. contradiction, car l’église exalte le célibat. – Durand ne veut pas l’appeler un sacrement. à défaut d’un Signe, on déclare qu’il est le signe de l’union du christ avec son église !
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 265-266.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°16]
Baptême - les pères contemporains d’Irénée ne parlent que du baptême d’adultes. Tertulien combat le baptême des enfants. - au 3e siècle, quand il fut d’usage de baptiser les enfants, on substitua l’aspersion à l’immersion
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 273-274.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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[n°17]
Gerson enseigna que le baptême, au moins celui des enfants, n’est pas absolument nécessaire au Salut.
Référence exacte :
Haag, E. - Histoire des dogmes chrétiens - t. 2. - p. 280.
Dans: Histoire des dogmes chrétiens - 1862
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Cote g226 - vol. 6 - f°299 - Verso - 
f°300 - Recto | f°300 - Verso