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Cote : g226_6_f_299__v____ | ID_folio : 1554 | ID_Transcription : 123 | ID_Image : 4661
infaillibilité
Adrien VI (1523) déclare que le pape peut se tromper & qu’il y en eut plusieurs
d’hérétiques

- appartient aux conciles, selon les conciles de Bâle & de Constance, - opinion condamnée
par ceux de Florence & de Latran.

- seize Pères cités par Launoi prétendent que par ces mots « sur cette pierre » Jésus a
voulu se désigner lui-même.

pape.
tous les pères des premiers siècles n’ont pas élevé l’évêque de Rome au-dessus des autres
irénée & Tertulien placent l’église de Smyrne sur la même ligne que celle de Rome
Jérôme déclare formellemt tous les évêques égaux.

- Ch. Marcellus au pape Jules II en plein concile « tu es un autre Dieu sur la terre »
Sacrements
il n’y en eut d’abord que deux le baptême & la Cène.
St victor ne reconnaissait que ces deux-lĂ 
Alexandre de Hallès : le Christ n’a institué que ces deux-là.
– La théorie des 7 sacrements fixée par St thomas d’Aquin ne fut admise au nombre des
articles de foi, qu’au XVe siècle, par le concile de Florence.
on avait fait dépendre l’effet salutaire des sacrements de l’état moral du sujet
mais le concile de Florence & celui de Trente décrétèrent que la grâce est conférée
ex opere operato, indépendamment des dispositions morales de celui qui les administre
ou qui les reçoit.

trois choses constituent l’essence d’un sacrement - l’institution divine. le signe visible, la
communication de la grâce invisible à l’âme du fidèle.
Mais où trouve-t-on dans la pénitence, l’ordre & le mariage, l’élémt visible
le symbole, le signe de la chose invisible ? - où voit-on l’institution divine dans
la confirmation & l’extrême-onction ?

- en 1215, Innocent III (4e concile de Latran) ordonne à tout fidèle sous peine d’excom
munication de se confesser, une fois par an.

– Les indulgences, le rachat des fautes par de l’argent est une idée germanique. (255)
- La théorie des œuvres surérogatoires fut admise comme dogme en 1343 par Clément VII VI
L’extrême-onction n’a été placée au nombre des sacrements qu’au IXe siècle.
Mariage. contradiction, car l’église exalte le célibat. – Durand ne veut pas l’appeler
un sacrement. à défaut d’un Signe, on déclare qu’il est le signe de l’union du christ
avec son Ă©glise
!
BaptĂŞme
- les pères contemporains d’Irénée ne parlent que du baptême d’adultes. Tertulien combat
le baptême des enfants. - au 3e siècle, quand il fut d’usage de baptiser les enfants,
on substitua l’aspersion à l’immersion

Gerson enseigna que le baptême, au moins celui des enfants, n’est pas absolument
nécessaire au Salut.

Transcription : Taro Nakajima

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