- infaillibilité
- Adrien VI (1523) déclare que le pape peut se tromper &et qu’il y en eut plusieurs
d’hérétiquesRéf. bibl.
- - appartient aux conciles, selon les conciles de Bâle &et de Constance, - opinion condamnée
par ceux de Florence &et de Latran.RĂ©f. bibl.
- - seize Pères cités par Launoi prétendent que par ces mots « sur cette pierre » Jésus a
voulu se désigner
lui-mĂŞme.RĂ©f. bibl.
- tous les pères des premiers siècles n’ont pas élevé l’évêque de Rome au-dessus des autres
irénée &et Tertulien placent l’église de Smyrne sur la même ligne que celle de Rome
Jérôme déclare formellemt tous les
Ă©vĂŞques Ă©gaux.RĂ©f. bibl.
- - Ch. Marcellus au pape Jules II en plein concile « tu es un autre Dieu sur la terre » Réf. bibl.
- il n’y en eut d’abord que deux le baptême &et la Cène.Réf. bibl.
- StSaintvictorVictor ne reconnaissait que ces deux-lĂ RĂ©f. bibl.
- Alexandre de HallèsHalès : le Christ n’a institué que ces deux-là .Réf. bibl.
- – La théorie des 7 sacrements fixée par StSaintthomasThomas d’Aquin ne fut admise au nombre des
articles de foi, qu’au XVe siècle, par le
concile de Florence.
on avait fait dépendre l’effet salutaire des sacrements de l’état moral du sujet
mais le concile de Florence&etcelui de Trente décrétèrent que la grâce est conférée
ex opere operato,
indépendamment des dispositions morales de celui qui les administre
ou qui les reçoit.Réf. bibl.
- trois choses constituent l’essence d’un sacrement - l’institution divine. le signe
visible, la
communication de la grâce invisible à l’âme du fidèle.
Mais oĂą trouve-t-on dans la
pénitence, l’ordre &et le mariage, l’élémtélément visible
le symbole, le signe de la chose invisible ? - où voit-on l’institution divine dans
la
confirmation &et l’extrême-onction ?Réf. bibl.
- - en 1215, Innocent III (4e concile de Latran) ordonne à tout fidèle sous peine
d’excom
munication de se confesser, une fois par an.RĂ©f. bibl.
- – Les indulgences, le rachat des fautes par de l’argent est une idée germanique.(p.page255)
- - La théorie des œuvres surérogatoires fut admise comme dogme en 1343 par Clément VIIVIRéf. bibl.
- L’extrême-onction n’a été placée au nombre des sacrements qu’au IXe
siècle.Réf. bibl.
- Mariage. contradiction, car l’église exalte le célibat. – Durand ne veut pas l’appeler
un sacrement. à défaut d’un Signe1 , on
déclare qu’il est le signe de l’union du christChrist
avec son égliseÉgliseRéf. bibl.!
- - les pères contemporains d’Irénée ne parlent que du baptême d’adultes. TertulienTertullien combat
le baptême des enfants. - au 3e siècle, quand il fut d’usage de
baptiser les enfants,
on substitua l’aspersion à l’immersionRéf. bibl.
- Gerson enseigna que le baptême, au moins celui des enfants, n’est pas absolument nécessaire au Salut.Réf. bibl.