Essais sur la Réforme Catholiqueréforme catholique par Bordas-Demoulin &et Huet., 1856
- Contre l’immaculée conceptionl'Immaculée Conception
- L’ange dit à Marie qu’elle « a trouvé grâce » auprès de Dieu ce qui suppose qu’elle
en avait besoin et dès lors qu’elle n’était pas juste primitivemtprimitivement.
Elle nomme Dieu « son sauveur »(p.page 90)
- 1 - L’homme pourra hausser baisser les températures., pulvériser les montagnes
avec l’électricité., gouvernera les saisons, créera des climats. La fécondité
du sol n’aura pas de
bornes.RĂ©f. bibl.
- enEn vertu des articles organiques du Concordat., art. 12. : « ilIl sera libre aux archevêques
et aux évêques d’ajouter à leur nom celui de Monsieur.
Toutes autres qualifications
sont interdites. »Réf. bibl.
- siSi la Vierge n’a pas appartenu à l’humanité déchue, J.-ChristJésus-Christ n’a pas revêtu la nature humaine, il ne
saurait être le médiateur. ilIl n’est pas le fils de l’homme.(p.page 188.)
- est concueconçue comme celle de courtisans à qui l’on fait des présents prpour qu’ils intercèdent
près du souverain.(p.page 206)
- substituent les respects extérieurs envers l’Eucharistie aux dispositions qu’elle exige
p.pour lela2 recevoir (p.page 208)
- l’égliseL'Église comprend les laïques. (vvoirv.p.page 221)
- leLe titre de roi par la grâce de Dieu emportait qqquelque chose de libéral, disait que le roi ne relevait pas de
l’Église.
il ...ilIl s’affranchissait tant qu’il le pouvait de la théocratie.(p.page 223) Biens du clergé
- l’idéeL'idée de les vendre et de pensionner le clergé remonte aux états de Pontoise de
1561. voy.voyezVoy. Aug thierry essai sur le th tiers état.Augustin Thierry, Essai sur le tiers état, p.page 343 .Réf. bibl.
- François Ier imposa de force au Parlement la réception du Concordat.(p.page 240.)
- à À la messe solennelle p.pour les États généraux un des évêques : « recevezRecevez Seigneur les
prières du clergé, les vœux de la noblesse &et les humbles supplications du tiers état ».Réf. bibl.
- laLa constitution civile du clergé n’est qu’un perpétuel emprunt aux coutumes les plus anciennes &et les plus autorisées
de l’églisel'Église.(p.page 245)
- Les parents du roi &et les plus htshauts personnages par le concordat de François Ier &et de Léon X sont dispensés des grades,
c’est-à -dire des preuves de capacité.Réf. bibl.
- deDe 1695 à 1715 sur 120 choix, onze noms seulement ne sont point précédés
de la particule
féodale.(p.page 325)
- laLa liberté des cultes fut reconnue le 21 févfévrier 1795., par les efforts de grégoireGrégoire. Ils étaient abandonnés à eux-mêmes. Les ministres ne recevaient aucun salaire.Réf. bibl.
p-pourPour la fin du ch.chapitre X