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Cote : g226_7_f_012__r____ | ID_folio : 3208 | ID_Transcription : 2286 | ID_Image : 9623
[1]
Copies
Style troubadour


La courtisane était voluptueusement étendue sur un lit de repos, au fond de ses appartements dans un boudoir discret. Une urne d’albâtre au plafond.Ses yeux respiraient la tendresse, l’amour, tout son maintien le feu de la Passion. Sa chevelure d’ébène exhalait les parfums les plus précieux. Un souffle embaumé s’échappait de ses lèvres de rose. Une gaze légère laissait entrevoir deux globes de lys que soulevaient de brûlants soupirs et ses cuisses d’albâtre, à moitié fermées, dérobaient des charmes plus enchanteurs encore. C’est dans cet appareil qu’elle attendait Valsin !Réf. bibl.Trouver un titre et un nom.
[2]
Après avoir parcouru le vaste règne de Charlemagne avec le flambeau de l’histoire et le fil de la chronologie, essayons d’y revenir sur le char de la féerie, avec le prisme magique dont les romanciers ont répandu les couleurs mensongères sur ce règne à jamais fameux.P. 302, t. II, MarchangyDouteux, chercher l’auteur.
[3]
Rococo
Sa bouche entrouverte laissait passer un souffle, aussi pur qu’un petit vent qui aurait traversé un rosier.Les bourgeois de Molinchart, Champfleury,  p. 32

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

Page préparée pour le « second volume »

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