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Cote : g226_7_f_014__r____ | ID_folio : 2651 | ID_Transcription : 804 | ID_Image : 7952
[1]
Rococo
Dangers du chocolat

Les vins généreux dont elles sont sans cesse abreuvées, les liqueurs spiritueuses qu’elles avalent comme l’eau, l’abus qu’elles font du café et du chocolat dont l’excès chez elles est prodigieux. Toutes choses enfin dont une seule est capable de corrompre l’harmonie animale, et qui réunies mettent le comble aux feux qui les dévorent ; tout cela porte dans les passions la torche ardente des plus honteuses et des plus excessives lubricités.Bienville, La Nymphomanie, 1789
[2]
Une méthode
[...] une méthode pour laquelle je ne cesse de faire des vœux depuis que je suis initié dans le sanctuaire du Dieu d’Épidaure.Broussais, Examen des doctrines
[3]
Les Fleurs
Id.



L’odorat
Id.
Ô fleurs ! [...]L’amour dont vos parfums enflamment le délire Souvent par vos bosquets étendit son empire.(Fontanes)

L’odorat semble ici le précurseur de l’amour et l’air en est le messager.
Hippolyte Cloquet, Osphrésiologie, Préface

[4]
Le spectacle de la nature

Comme un voyageur altéré soupire après la fraîcheur des fontaines, ainsi l’âme fatiguée des traverses de la vie, vient se reposer dans le sein paisible de la nature. Que le spectacle de nos sociétés est chétif auprès d’elle ! Combien la pompe des rois est effacée par l’éclat d’une simple fleur.Virey cité par Désormeaux, Tableaux, t. III, p. 155

Transcription : Norioki Sugaya

Page préparée pour le « second volume »

Titre de la page : Style médical

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