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gds Ă©crivains
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Castel rococo
périphrases périphrases
phtisie
La phtisie -
Et l’époux qui soutient sa moitié défaillante ;
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Dans l’air en même temps les sombres Euménides,
Soufflent de toutes parts leurs poisons homicides.
Une fréquente toux, de longs étouffements
Sont du premier accès les signes alarmants.
Dès la seconde aurore une brûlante haleine,
Du poumon embrasé ne s’échappe qu’à peine.
La toux, du corps entier fait crier les ressorts,
Et l’humeur, sans sortir, résiste à ses efforts -
Un feu séditieux étincelle au visage.
Le pouls, du sang Ă peine annonce le passage -
La plus légère étoffe est un pesant fardeau -
Une barre d’acier traverse le cerveau ;
Et le mal redoublant sa fureur intestine,
Comme un affreux vautour déchire la poitrine -
Castel
 (Les Plantes. ch III.)
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Berchoux
périphrase
confiserie -
Au secours du dessert appelez tous les arts,
Surtout celui qui brille au quartier des Lombards. -
Le café vous présente une heureuse liqueur
Qui d’un vin trop fumeux chassera la vapeur.
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Il peut du philosophe égayer les systèmes,
Rendre aimables, badins, les géomètres mêmes.
(La Gastronomie)
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Combien de bons bourgeois dans leur département
Font de la
prose
poésie
un doux délassement.
Cournand
- profess. au Collège de France.
Discours d’inauguration. 1803