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Cote : g226_7_f_016__r____ | ID_folio : 3021 | ID_Transcription : 2288 | ID_Image : 9062
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gdsgrandsGrands Ă©crivains CastelrococoRococo
périphrasesPériphrasespériphrases phtisiePhtisie
La phtisie

Et l’époux qui soutient sa moitié défaillante ; . . . .[...]Dans l’air en même temps les sombres Euménides, Soufflent de toutes parts leurs poisons homicides. Une fréquente toux, de longs étouffements Sont du premier accès les signes alarmants. Dès la seconde aurore une brûlante haleine, Du poumon embrasé ne s’échappe qu’à peine. La toux, du corps entier fait crier les ressorts, Et l’humeur, sans sortir, résiste à ses efforts -.Un feu séditieux étincelle au visage. Le pouls, du sang à peine annonce le passage -,La plus légère étoffe est un pesant fardeau -,Une barre d’acier traverse le cerveau ; Et le mal redoublant sa fureur intestine, Comme un affreux vautour déchire la poitrine -.Castel, Les Plantes., chchapitrech. III
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Berchoux
périphrase confiserie
Au secours du dessert appelez tous les arts,
Surtout celui qui brille au quartier des Lombards.
RĂ©f. bibl.

[3]
Le café vous présente une heureuse liqueur Qui d’un vin trop fumeux chassera la vapeur. . . . . . .[...]Il peut du philosophe égayer les systèmes, Rendre aimables, badins, les géomètres mêmes.La Gastronomie
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Combien de bons bourgeois dans leur département Font de la prosepoésie un doux délassement.Cournand -, profess.professeur au Collège de France., Discours d’inauguration., 1803

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

Page préparée pour le « second volume »

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