Fièvre typhoïde. = Diothiénentérie
.Â
trousseau clinique
t 1er
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le caractère spécifique de la maladie c’est la lésion intestinale.
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cette éruption interne est formée aux dépens des glandes agminées
&
isolées de Peyer
elles se tuméfient, font saillie dans l’intestin. la tuméfaction va en augmentant
jusqu’au 9e jour -
le lieu d’élection est la dernière portion de l’iléon.
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cette entérite n’est qu’un élément de la maladie.
elles
les tuméfactions
n’en sont pas plus la cause
que les Ă©ruptions ne sont la cause de la variole. qqfois elles manquent. elles sont toujours
postérieures, aux développements symptomatiques de la fièvre. X ( 291)  X cela est un argument
pr  les Vitalistes. -
La gravité des symptômes généraux n’est pas en rapport avec l’intensité de l’éruption
elle-mĂŞme. -
taches rosées lenticulaires -
qques papules se montrent d’abord. Les jours suivants d’autres se développent à leur
tour. Chaque tache considérée isolément dure de 3 à 15 jours, de telle sorte que celles qui
ont apparu les premières s’éteignent lorsque de nouvelles commencent à se manifester
la durée totale de l’éruption varie entre 3 & même 20 jours. -
– Convalescence à surveiller. l
es
a
possibilité du retour des accidents pru dangereuse
taches bleues ou bleuâtres, se terminent heureusemt -
sous la forme adynamique administrez des stimulans, l’éther, l’ammoniaque – infusions de sauge
de serpentaire, de badiane. Vin de Malaga, limonades vineuses avec de l’eau de Seltz. ( 330) -
affusions froides, bains tièdes. ou lotions avec de l’eau vinaigrée
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Lorsque la surdité est des deux côtés, le pronostic est favorable.
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qqfois
hypertrophie de la rate comme dans la fièvre palustre.
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Mais dans la fièvre putride l’engorgement de la rate arrive dès les premiers jours
au point qu’elle doit atteindre, pr diminuer à mesure que la maladie fait des progrès
tandis que dans la fièvre palustre c’est le contraire ( 339) -
La fièvre typhoïde est contagieuse
( 342)
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épidémie de typhoïde dans une ferme des Deux-Sèvres (3 fois en 40 ans)
&
chaque fois
après la coupe d’un bois. -
traitement. Trousseau n’ordonne que de l’infusion de camomille, des boissons acidules
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La marche des fièvres éruptives est peu susceptible d’être modifiée par la médecine !
( 347)
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Il faut les nourrir malgré la fièvre - pendant tout le cours de la maladie - potages maigres, qques
cueillerées de bouillon.
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fragment de Graves (de Dublin)
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4
2
.
&
sq.
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Les personnes qui meurent d’inanition, ont une inflammation cérébrale.
vous ajoutez, par la diète, cette inflammation à la maladie, une inflammation - ou tout au moins
gastrique ou cérébrale. Comme la sensibilité du malade est altérée, il ne demande
pas d’aliments, mais il en a besoin –