Osphrésiologie ou traité des odeurs, du sens &et des organes de l’olfaction. Hippolyte Cloquet 2eédit.éditionéd. 1821.
- odeurs homicides. Le pape Clément VII fut tué par la fumée qui s’exhalait d’une torche
qu’on
portait devant lui. (Ambroise Paré)
- une fille élevée prpour tuer les princes, avait été nourrie de substances vénéneuses dont les propriétés délétères
devait se communiquer Ă son haleine. - Avicenne -(p.page 86)
- une fille fut donnée dans l’iInde à Alexandre - qui avait été nourrie
du venin des reptiles, &et tuait par ses embrassements. (p.page 87). - Aristote
- prpour rendre à la civette &et au musc leur odeur - il faut les suspendre dans les lieux d’aisance.(p.page 91)
- Le nez des gens qui se mouchent de la main gauche est incliné à gauche. Béclard. &et ceux qui se mouchent
de la main droite ? - il devrait être incliné à droite !(p.page 203.)
- parler du nez. locution fausse selon la remarque de Haller. car l’altération de la voix tient
au contraire à la difficulté de faire passer le son par le nez.(p.page 377.)
- La rhinoplastie fut trouvée en italie, sous Charles qQuint Sixte-Quint qui faisait couper le nez aux voleursp.page 432.
- Tagliacozzo, de Bologne avait, dit-on, appris son secret d’une famille de
Calabre, les
Bojano.(p.page 444)
- histoire de Garangeot. en 1724. - Curieuse. on se moqua de lui Ă tort.
- loupes du nez. Quand on en coupe une, les autres prennent plus d’accroissement, - comme
lorsqu’on émonde les arbres.(p.page 505).
- Renard, chirurgien de Bordeaux, assisté de plusieurs de ses confrères croyant escxtraire un polype du nez d’un enfant de trois ans, n’en retira qu’un pois qui avait poussé des racines au nombre de dix ou douze, et dont l’une avait trois pouces quatre lignes d’épaisseur » - Journal de médecine, de chirurgie &et pharmacie, depar Vandermonde t.tome 15. p.page 525. Xbrdécembre 1761.