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Cote : g226_7_f_182__r____ | ID_folio : 908 | ID_Transcription : 1762 | ID_Image : 2723

Proudhon, 2

Jugement sur l’hist.histoire naturelle

« uneUne société de bêtes est un assemblage d’atomes ronds crochus, cubiques, ou triangulaires mais toujours parfaitement identiques. leur personnalité est unanime on dirait qu’un seul moi les gouverne. 219.
Jugement sur l’hist.histoire
laLa domesticité « volontairement acceptée d’abord » fut convertie en esclavage ! » 122 (2e mémoire)
Cause de son aigreur
il se voyait Ă  la veille de manquer de pain(126.).
se plaint de ce que les démocrates ne l’ont pas soutenu parce qu’il n’était pas connu.
« ainsi le monopole de la pensée, la propriété de la raison désole le prolétariat comme la bourgeoisie. Le culte de l’infâme triomphe jusque sur les marches du tabernacle.(130)
N’aime pas les éloges hyperboliques.
136.« un nain peut toujours mesurer un géant il n’a besoin prpour cela que d’une toise » – mais où la prendre ?
il appelle Lamennais « la plus htehaute capacité littéraire de notre époque » (136.)
« non, il n’est point entre les hommes de supériorité réelle, puisque l’universalité des talens &et des aptitudes dans un même individu ne se trouve pas. »141.
Proudhon monarchique.
voudrait qu’il n’y eut en France qu’une seule gde inégalité fonctionnelle(147-148) dès lors ce serait le paradis terrestre. « il n’y aurait plus d’autre émulation que celle du mérite &et de la vertu. Je voudrais que le roi des Français pût dire sans honte: mon frère le jardinier, ma belle-sœur la laitière, mon fils le prince royal &et mon fils le forgeron. Il avait bien une fille artiste. cela serait beau, Monsieur ! et cela serait royal. il n’y a qu’un arlequin qui ne le comprenne pas. » 148.
goûtsGoûts artistes du sieur Proudhon qui signe « pensionnaire de l’acad.académie de Besançon »Réf. bibl.
[*Exaltation du bas]

« Je hais naturellement tout ce qui fait remarquer un individu, croix d’honneur, galons, livrées, costumes, titres honorifiques etcetc. mais par dessus tout les parades. Si l’on suivait mon humeur, je vous assure qu’on ne distinguerait pas un général d’un simple soldat ni un pair de France d’un paysan »148.

Transcription : Delphine Gleizes

Page de notes de lecture

Titre de la page : Proudhon, 2

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