France mystique 359
- « scandaleuse concurrence des cultes » Bazard 1ère anée 2e séance. (p.  518)
- Pierre Leroux est pour une religion de l’État dans son opuscule « d’une religion nationale. »
- « Ne voit pas même à ce que la loi oblige le citoyen à écouter un
orateur du peuple
chargé de le moraliser comme la loi l’oblige aujourd’hui
au service de la garde nationale. » (p.  535)
- C’est l’instruction obligatoire et gratuite de V. Hugo. Compelle intrare !
Il a indiqué dans la Religion nationale et dans son Projet de Constitution
de 1848 comment il conçoit ce grand culte national.
- « Il était démocrate par la chair et la sensibilité nerveuse. Ce sont là des
Natures dont il ne faut pas généralement attendre grand chose. Ne comptez pas
sur les intelligences molasses et défiez-vous des hommes qui ont de grands besoins
voilĂ une maxime dont les gens de parti ne sont pas suffisamment
pénétrés. » (p.  596)
- « L’armée est l’harmonie vivante. elle représente seule aujourd’hui
les éléments déjà coordonnés de
la Série. »
- Dans Sauvons le genre humain « .. j’ai ordre de vous dire à vous
personnellement que vous avez une mission providentielle. »
- Trompe aromale (voir son livre de la Religion). Il affirmait qu’il
l’avait sur la tête et que les âmes répandues dans l’espace lui faisaient
par lĂ des communications.
- Pendant un des grands mouvements de 1848 on le vit sur la place de l’hôtel
de ville distribuer des bouchées de son pain
qu’il distribuait à la foule
en disant « Pain de Dieu, fais-toi pain pour tous. »
- Toureil a vu dans le bois de Vincennes un être blanc qui lui dit « change de vie, c’est toi qui
annonceras la nouvelle parole. »  (p. 629)
- « Le méchant en engendre d’autres par son supplice même. » Beauté de
ces sentiments. Il faut aimer le coupable pour le faire changer, l’améliorer.
Toureil a écrit explication de Dieu et de l’homme 1845.
- A. Guyard —— Des droits, des devoirs et des constitutions au point de vue
de l’absolu. 1850.
- Jolie ligne d’Erdan. « Je n’ai pas besoin que la société m’aime. Tout ce que je lui demande c’est qu’elle ne m’opprime pas. »