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Cote : g226_8_f_205__r____ | ID_folio : 295 | ID_Transcription : 1885 | ID_Image : 884
conscience imposait Ă  l'affection qui me dirigeait exclusivement
Je voyais mon adorable tyran Ă  la promenade, au spectacle, chez
moi etc.
Albert diminue ses visites . elle l'attend des journées
entières où "je n'entendais que le bruit cadencé de la pendule"
Albert se defend. il a peur, dit-il, de la compromettre. il lui jure
qu'il l'"aimait autant qu'il pouvait aimer"
tout devient
insupportable à Louise. c'est une absorbtion –
Albert lui annonce son départ – il revient "il se
hâta d'aller retrouver sa proie" le récit se continu à
la 3e personne. – Le narrateur les voit ensemble dans un
bal. – xxx Albert fait la cour à une belle italienne. – on
le voit dans une baignoire en tĂŞte Ă  tĂŞte avec elle. Louise
affecte d'être gaie. rentrée chez elle la fièvre la prend – elle
se prépare à faire une fin chrétienne. " & s'éteignit dans
la paix du Seigneur — Albert de S t a dit-on épousé une
femme de 50 ans.


Au revers de la couverture : "cette nouvelle fut
écrite tout d'un trait & en 3 heures – sur la
couverture "recopiée en 1864" – c'est un petit cahier
de papier, cousu avec du fil blanc, sans marge ni alinéa

Transcription :

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