Intitulé | copie rit de ceux qui tâchent d'éclaircir les rêveries de la mythologie n'en voit pas la portée. Mais qui pourrait voir sans rire toutes les peines que se donnent aujourd'hui nos savans pr éclaircir les rêveries de la mythologie". Ainsi Rousseau (ni aucun de ceux qui l'ont réfuté d'ailleurs) ne voit que la science à sa raison d'être & son but en soi - ni que c'est un instinct de l'esprit - on finit à force de voir tant d'exclusiv d'exclusivisme par détester cette Nature négative du 18e siècle qui est à la Nature ce que la poétique des collèges est à la Poésie |
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Stade typologique / Origine | Note de lecture |
Périmètre | Genèse du premier volume de Bouvard et Pécuchet, Genèse du second volume de Bouvard et Pécuchet, Genèse de Bouvard et Pécuchet |
Notes générales | 162 |
Auteur(s) | Titre | Date | Page(s) | Type de support documentaire | Type de référence bibliographique |
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Rousseau, Jean-Jacques (1712-1778) |
Observations... sur la réponse qui a été faite à son discours
Dans : Sciences, arts et belles-lettres - t. 1 / Rousseau J.-J. - 1791 | 1791 | 162 | Articles (ou chapitres) issus de tomes d'ouvrages en plusieurs volumes | Référence bibliographique de fragment |
Intitulé | Page(s) |
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« Qui pourrait voir sans rire toutes les peines que se donnent aujourd’hui nos savants pour éclairci [...] | 162 |
Créée par Stéphanie Dord-Crouslé le lundi 07 janvier 2019 14:02:11
Modifiée par Stéphanie Dord-Crouslé le jeudi 14 février 2019 17:05:37
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