Intitulé | On abolit les Princes on respecte les ouvriers // Le décret du 4 août se bornait à promettre la réforme des jurandes tandis qu’il abolissait en principe tout ce qui restait des institutions féodales. – on continua donc à payer les taxes anciennes, pr obtenir les maîtrises, mais il n’y avait plus aucune rigueur dans l’exécution des statuts. - Des compagnons quittaient leurs maîtres pr s’établir. Aussi une pétition de la communauté des perruquiers exposait à l’Assemblée au mois de Xbre 90 que depuis la Révolution 400 cents de leurs garçons avaient pu s’établir aux dépens des clientèles de leurs anciens maîtres & sans prendre leur part des droits fort lourds que la communauté payait au trésor. |
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Stade typologique / Origine | Note de lecture |
Périmètre | Non encore typé |
URL | http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k86345v |
Auteur(s) | Titre | Date | Page(s) | Type de support documentaire | Type de référence bibliographique |
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Du Cellier, Florent (1819-....) | Les classes ouvrières en France depuis 1789, par F. Du Cellier... | 1857 | Ouvrages | Référence bibliographique de fragment |
Intitulé | Page(s) |
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On abolit les Princes on respecte les ouvriers // Le décret du 4 août se bornait à promettre la réf [...] |
Créée par Stéphanie Dord-Crouslé le mercredi 04 mai 2011 16:04:26
Modifiée par Stéphanie Dord-Crouslé le dimanche 08 juillet 2012 23:11:33
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