fermer
Citation
Référence exacte
Mirabeau, H.-G. R. - Lettres à Sophie - t. 1 - 1792.
Dans
Manuel, L.-P. ; Mirabeau, H.-G. R. - Lettres à Sophie
Page(s)
64-65
URL
https://books.google.fr/books?id=BBs6AAAAcAAJ&pg=RA2-PA64
Occurrence(s) dans les manuscrits / Fragment(s)
Liste des fragments
Localisation
Stade typologique / Origine
Fragment de référence
« J’ai toujours été convaincu qu’une amitié vive était elle-même une espèce d’infidélité non pas criminelle mais qui décèle la faiblesse de l’amour » il est jaloux d’une amie de Sophie - « ta langue, ta langue parfumée quand elle erre sur mes lèvres me trouble mille fois plus que je ne le fus jamais par le dernier degré du plaisir dans les bras d’une autre femme »
Antibes_047_f_001__r
Note de lecture
URL
permanente :
http://www.dossiers-flaubert.fr/c-15526