fermer

f°005 - Recto | f°005 - Verso  << Cote Antibes - vol. 066 - f°006 - Recto -  >> f°006 - Verso | f°007 - Recto

Cote : Antibes_066_f_006__r | ID_folio : 3626 | ID_Transcription : 3623 | ID_Image : 14391
55
catégorie de la raison à laquelle nous rapportions notre jugement.
3° le beau doit renfermer en lui-même le rapport de conformité à un but mais de manière que ce rapport soit saisi sans que l’idée de but s’offre à notre esprit.
4° quoiqu'il ne soit pas accompagné d’une idée abstraite, le beau doit être reconnu comme objet d’une jouissance nécessaire.
(v. p. 56)

Schiller avait déjà réclamé l’union et la conciliation des deux principes (v. p. 57) : l’éducation esthétique doit intervenir pour opérer la conciliation des deux principes car selon Schiller, elle a pour but de façonner et de polir les penchants et les inclinations, les passions, de manière à ce qu’ils deviennent raisonnables, et que, d’un autre côté, la raison et la liberté sortent de leur caractère abstrait, s’unissent à la nature, la spiritualisent, s’y incarnent, et y prennent un corps. Réf. bibl.
Winckelmann fut conduit par

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

Page de notes de lecture

Si vous avez relevé une erreur de transcription ou de normalisation, si vous pensez avoir déchiffré un mot illisible, prenez contact avec nous :