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Cote : Antibes_066_f_013__v | ID_folio : 3641 | ID_Transcription : 3638 | ID_Image : 14436
1° Les puissances générales de l’action
grandsGrands motifs de l’art : principes éternels de la religion et de la morale, l’étatl'État, la famille, l’honneur et l’amour. ... Elles doivent toujours renfermer qqquelque chose d’essentiellement vrai. lesLes puissances du mal et du principe négatif doivent leur être mismises en opposition. maisMais ce qui est purement négatif ne peut figurer dans la représentation idéale de l’action comme cause essentielle de la réaction. Réf. bibl.
Hegel affirme même que le diable est une mauvaise figure esthétique dont l’art n’a que faire « Carcar il est le mensonge même et à ce titre une personne hautement prosaïque. » Je crois que goëtheGoethene s’en était pas ... n’y avait pas songé quand il fit SatanMéphistophélès ? Réf. bibl.
uneUne action prpour représenter l’idéal doit avoir prpour base les puissances légitimes et vraies qui gouvernent le monde. Ces puissances ne doivent pas non plus apparaître comme des abstractions. d’unD'un autre Côtécôté, l’individualisation qui les révèle ne doit pas être exclusivement particulière, concrète, définie. Réf. bibl.
lesLes divinités grecques, par exemple, représentent bien ces puissances générales en même temps que des individualités mais l’idée absolue et l’individualité sont mêlés mêlées d’une façon admirable–. Quand les dieux d’Homère combattent les uns contre les autres ils manifestent bien leur individualité

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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