- 1° Les puissances générales de l’action
- Grands motifs de l’art : principes éternels de la
religion et de la morale, l'État, la famille, l’honneur
et l’amour. Elles doivent toujours renfermer
quelque chose d’essentiellement vrai. Les puissances du
mal et du principe négatif doivent leur être mises
en opposition. Mais ce qui est purement négatif ne peut
figurer dans la représentation idéale de l’action
comme
cause essentielle de la réaction. Réf. bibl.
- Hegel affirme
même que le diable est une mauvaise figure esthétique
dont
l’art n’a que faire « car il est le mensonge même
et à ce titre une personne hautement prosaïque. »
Je crois que Goethe n’y avait
pas songé quand il fit Méphistophélès ? Réf. bibl.
- Une action pour représenter
l’idéal doit avoir pour base les puissances légitimes et
vraies qui gouvernent le monde. Ces puissances ne
doivent
pas non plus apparaître comme des abstractions.
D'un autre côté, l’individualisation qui les révèle ne
doit pas être exclusivement particulière, concrète, définie. Réf. bibl.
- Les divinités grecques, par exemple, représentent bien ces puissances générales en même temps que des individualités mais l’idée absolue et l’individualité sont mêlées d’une façon admirable. Quand les dieux d’Homère combattent les uns contre les autres ils manifestent bien leur individualité