- 1414.
-
avec cette idée particulière qui se confond avec sa
personnalité. La fixité du caractère en est la conséquence. Réf. bibl.
-
1° Le pathos n’est qu’une face du caractère du personnage
mais le cœur de l’homme est vaste,
tous les sentiments doivent y trouver leur place.
L'Olympe tout entier est renfermé dans sa poitrine.
C’est dans ce sens qu’un Ancien disait  : « Tu as fait
de tes passions autant de dieux, ô homme ! » Il
ne doit pas être représenté comme absorbé entièrement
dans une seule passion.RĂ©f. bibl.
- (V. p. 225 et 226 l’exemple
du caractère d’Achille, accessible à la pitié, à la
haine, à la vengeance, doué de tous les dons, valeureux,
féroce, clément, etc.)Réf. bibl.
- À cette condition propre, il
y a vitalité dans le
caractère du personnage. Réf. bibl.
- 2° Le caractère doit être aussi essentiellement particulier
et individualisé. Réf. bibl.
-
Un élément principal doit apparaître
comme dominant, mais en
même temps ne pas exclure la fécondité et la vitalité de
sorte que le champ soit laissé libre à l’individu pour
s’exercer dans plusieurs sens, pour s’engager dans des
situations nombreuses et variées et pour développer la
richesse d’une nature féconde et cultivée dans une
foule de manifestations
diverses. RĂ©f. bibl.
- 3° Le caractère doit identifier avec sa propre personnalité l’idée particulière qu’il représente. Réf. bibl.