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Cote : Antibes_066_f_023__v | ID_folio : 3660 | ID_Transcription : 3657 | ID_Image : 14493
du Parse cette séparation n’existe pas ; la lumière est la lumière, en même temps qu’elle est dieu,.et que sousSous toutes les formes diverses, sous toutes les individualisations où le principe universel et divin et se dissémine, l’unité indissoluble du fond et de la forme persiste toujours. Réf. bibl.
dansDans les endroits qui renferment une conception plus avancée, on trouve un commencement de symbolisme, mais pas encore le type particulier qui s’étend à cette forme de l’art tout entière. (VVoirV.  pp.page 48., Mithra.)Réf. bibl.
leLe culte du Zendavesta est moins symbolique encore. (vv.voir pp.pages 49-52)
II. De la symbolique de l’imagination
Le moment qui doit suivre celui où dans la conscience des peuples l’absolu apparaît comme identique avec le monde visible, est le moment de la séparation des deux termes jusqu’ici confondus, d’où naît en même temps la nécessité de chercher à combler l’intervalle et à les réunir de nouveau, à l’aide de l’imagination. Réf. bibl.

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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