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Cote : Antibes_066_f_024__v | ID_folio : 3662 | ID_Transcription : 3659 | ID_Image : 14499
sublime, l’apparence finie exprime l’absolu, mais en le manifestant de telle sorte que celui-ci s’élève au-dessus d’elle et qu’elle ne peut atteindre jusqu’à lui. Telle est, par exemple, l’idée de l’éternité. Elle est sublime, si l’on veut l’exprimer par le temps fini, parce que le nombre le plus grand est toujours insuffisant et peut être sans cesse augmenté sans qu’on arrive jamais au terme. Mais l’imagination indienne (c’est là ce qui en fait la différence du sublime) ne met pas dans ses représentations, en saillie, l’insuffisance et le néant de ses formes sensibles comme manifestations de la divinité : elle croit précisément, par cette absence de mesure et de limites, avoir détruit et fait disparaître la différence et la contradiction entre l’absolu et sa manifestation extérieure. (Brahmâ - Trimourti, p. 65-72)Réf. bibl.
Idée de la génération naturelle mise à la place d’une création spirituelle.Réf. bibl.
« L'obscénité est poussée à son dernier degré » dit Hegel

Transcription : Stéphanie Dord-Crouslé

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